Pour qui ? Un(e) Cancalais(e) gobeur d'huîtres ! Idéal entre amis et sans chichis
Plat culte ? Une belle assiette à partager avec deux, avec tranches de saumon sauvage et fumé, tarama de cabillaud maison (sans colorants, bravo !) et toasts grillés.
Il y a des indices qui ne trompent pas : les bourriches qui vous accueillent à l’entrée, le coup de main du patron-ostréiculteur, Eric Mayer, qui ouvre ses huîtres à la minute. Ou encore ces sets de tables bien ringards, qui rappelleront à tous les Bretons en exil le charme des crêperies de leur pays.
Bivalves à prix décents, à gober par douzaine, comme sur le port de la Houle : plates n°2 (24 €), creuses n°4 (12,20 €)... Pour rappel, plus le chiffre est gros, plus la coquille est petite. Une huître numérotée 4 sera donc minuscule (idéale pour l'apéro), et un calibre 0, maousse et difficilement mangeable tel quel (à cuisiner au four par exemple, avec une pointe de Tabasco). A arroser d'un bon vieux muscadet calibré pour toutes les soifs (au verre, à la bouteille ou au pichet).
Vous n'êtes pas très cru ? Optez pour une belle assiette à partager avec deux, avec tranches de saumon sauvage et fumé, tarama de cabillaud maison (sans colorants, bravo !) et toasts grillés. Avant d'enchaîner avec un bon far breton ou un kouign amann.
A emporter, méga-bourriches de 50 huîtres (!), de 26 € (n°5) à 58 € (n°1).