Concept-stores

Des sacs suspendus aux murs, des breloques constellées sur de petites étagères en bois, des lampes allumées ici et là… French touche est assurément une adresse où l’on aime farfouiller des heures durant. Nichée au cœur du 17e depuis dix ans, cette « galerie d’objets touchants » fait partie des premiers « concept-stores » de la capitale (aux-côtés de la prestigieuse et hors de prix Colette). Imaginée par la charmante Valérie, cette adresse fourmille de créations originales : du badge rétro aux chats tricotés (Severina kids), en passant par les fameuses rustines Beatles, et les micro-cahiers porte-clés. « J’essaye de choisir des artistes peu distribués et pour lesquels j’ai un véritable coup de cœur. Lire la suite

Des concept-stores à Paris, il y en a à la pelle. Des boutiques girly qui sentent bon la bougie parfumée, et qui proposent indifféremment bijoux romantiques, foulards chatoyants et objets de déco originaux. Dans ce domaine, la boutique de Magali et Hélène, SoWeAre, ne fait pas dans le révolutionnaire. Ici, un peu comme ailleurs, on trouve de beaux sautoirs, des mugs mignons, une jolie sélection de maroquinerie et bien sûr de quoi s’habiller. Lire la suite

S’habiller au Centre Commercial, a priori ce n’est pas très glamour. Et Pourtant ne vous fiez pas au nom, car ce concept-store installé dans la rue de Marseille, aux côtés d’A.P.C., Maje et autres Claudie Pierlot, ravira les amateurs de belle sape. Il faut dire que les fondateurs de la boutique savent y faire, puisque ce sont eux qui sont à l’origine de Veja, la fameuse marque équitable de baskets devenue particulièrement tendance.  Sébastien Kopp, l’un des co-fondateurs, a fait le pari d’une mode consciente des enjeux sociaux et écologiques, capable de s’adapter aux nouveaux desiderata en la matière d’une clientèle sensible au devenir de la planète. Lire la suite

Avec son nouveau Flagship Store ouvert le 25 août, French Trotters assume ses ambitions et prend de l’ampleur. Pas moins de deux cent mètres carrés d’espace chic et soigné, qui remplacent l’ancienne boutique située quelques mètres plus loin au 116 rue Vieille du Temple, et regroupent toutes les facettes de ce concept store créé par Carole et Clarent Dehlouz en 2005. On y trouve donc à la fois des produits cosmétiques, toujours très tendance : des bougies au savon en passant par le gel douche ; du linge de maison et du mobilier : housses, taies, coussins, nappes, tabourets, tables basses ; enfin des revues et des magazines dédiés à la photo, à la décoration, la mode ou bien les plantes. Lire la suite

On y vient sans savoir ce que l’on est venu chercher, mais on en ressort toujours avec tout un tas de bric-à-brac. Des petites figurines d’animaux pour son neveu, de la jolie papeterie pour se faire plaisir, des badges à épingler sur un veston ou encore une guirlande lumineuse pour le salon. Un concept-store comme Paris en compte des dizaines, à la différence près que le lieu est suffisamment spacieux pour que l’on puisse y passer une bonne demi-heure sans se cogner à quelqu’un. On y retrouve malgré tout les mêmes créateurs qu’ailleurs : les bijoux à l’or fin de Titlee, les manchettes sophistiquées de Clémence Cabanes, ou encore les rustines drolatiques signées Macon et Lesquoy. Lire la suite

Comme son nom l'indique, La Fausse Boutique est un lieu atypique, mi-bureau mi-point de vente. Contrairement à la plupart des boutiques qui se voient accoler l’étiquette de « concept store », celle-ci ne vend pas des vêtements de grands créateurs ou des produits de luxe au sens vaste du terme, mais se concentre plutôt sur des produits dits surréalistes. C'est ainsi que nous retrouvons des guides touristiques multifonctionnels comme Paris à gratter. Lire la suite

Fondée en 2011, cette boutique multimarques diffuse un soupçon de culture underground dans le quartier touristique de Saint-Michel. Kimo et Diana, deux sœurs, ont repris le local du disquaire et bouquiniste ‘Silly Melody’, alors tenu par Kimo et son père. Insufflant au passage une nouvelle vie et une nouvelle philosophie au lieu, en le modernisant façon concept-store londonien ou berlinois. Au rez-de-chaussée, une sélection d’objets et accessoires design, de livres et de magazines, avec une touche rétro. Pour la mode femme et homme, direction le premier étage. Lire la suite

A l'origine de Gals Rock, une bande de copines fans de musique qui passent des heures à découvrir de nouveaux artistes sur myspace. Comme elles en ont un peu marre de voir les garçons squatter les places dans la pop, le rock et l'électro, elles décident de s'intéresser presque exclusivement aux femmes et de les promouvoir par tous les moyens quand elles ont du talent. Leur QG et rampe de lancement, ce sera Gals Rock, ouvert en 2009. Une boutique de fringues, mais pas seulement : au milieu des t-shirts à slogans amusants et des manteaux classieux, le chaland découvre en effet une arrière-boutique constituée de CD et de vinyles. Lire la suite

Le principe d’Afwosh (pour After work shop) est simple : proposer de jolies babioles pour toutes les bourses. Du monstre à doigt (2,50€) jusqu’aux cabas en cuir (228€) en passant par les enceintes en forme de Pac-man (28,50€, l’une), il y a fort à parier que vous trouverez ici de quoi faire votre bonheur. Lancée il y a 4 ans par Chloé et Emilie, la boutique de la rue d’Hauteville s’est forgée une belle réputation dans le quartier. Si on y retrouve inévitablement les grands noms de la bagagerie hexagonale (Nat & Nin) et du prêt-à-porter (Surface to air, See you soon), on y déniche (ouf !) également de jeunes créateurs pleins de promesses (Ccil, Lina Poum, Macon & Lesquoy). Lire la suite

Nichée dans une petite rue du 12e arrondissement, cette caverne d’Ali Baba regorge de trésors pour toutes les bourses : trousses en liberty, lunchbox, miroirs romantiques, bijoux et sacs de toutes les tailles. Largement plébiscitée par les blogueuses parisiennes, la boutique un poil girly de Lucie Deniset (autrefois installée dans le 11e) accueille en son sein créateurs confirmés (Nat&Nin, Adeline Affre, Titlee) et trouvailles atypiques. En témoigne le scotch à lunettes d’Azumi and David ou encore la veilleuse en forme de lapin en vente entre les murs. En somme, une collection pléthorique de cahiers, cartes postales, et masking tape à fourrer sous le sapin. Attention toutefois au porte-monnaie, car si les prix sont doux, les étals sont diaboliquement attractifs. Lire la suite