L'actu par Time Out Paris

Votre guide de Paris au quotidien : actualité, infos, culture et humour (enfin, on essaye)

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Pour Boiler Room, nouveau tampon en vue sur sa carte de fidélité parisienne ! Dans le sillage de deux furibards week-ends sur les deux dernières années, la plateforme anglaise de streaming vidéo dédiée à la musique électronique a d’ores et déjà confirmé son retour sur la capitale avec un passage le vendredi 2 mai 2025, pour une noce étalée de 18h à 6h. A l'ardoise ? Des teintes « house, disco et UK Club » Si l’affiche est encore vierge de noms – oui c’est dans six mois, on sait qu’après des sessions axées (hard)techno notamment sonorisées par les collectifs RAW et de la Darude (ha ce set d’Esteban Desigual), Boiler Room calmera cette année les BPM avec des teintes « house, disco et UK Club ». Quant au lieu investi à la suite du 104 et du YoYo, il reste lui-aussi dans la brume du mystère. Reste la dernière info particulièrement importante : les place seront mises en vente ce jeudi 28 novembre 2024, à 10h. Mettez votre réveil. Quand ? Vendredi 2 mai 2025, de 18h à 6h. Où ? Lieu tenu secret. Pour vous chauffer, on vous glisse le set d’Esteban Desigual pour une leçon de psytrance de haute volée. 
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Une soirée BDLM à Bercy ! Dans une vidéo postée mardi 26 novembre, le rappeur Tiakola a annoncé deux dates à l’Accor Arena les 26 et 27 mars 2025. Ce sera son premier concert parisien depuis son Olympia en mars 2023, et il devrait faire une large revue de sa mixtape BDLM VOL.1 (ça veut dire « Bienvenue dans le milieu ») sortie en septembre. Le héraut de la mélo Avec ce projet, Tiakola se pose comme le héraut de la mélo, un genre mêlant, grosso modo, la trap à des sonorités du monde entier (afrobeats, rumba congolaise…), fédérant aussi bien des tenanciers du game comme Niska et Hamza que des nouvelles têtes comme Genezio, Jolagreen23 ou Merveille. C’est pas dur, certains des titres de BDLM sont parmi les plus gros tubes du millésime 2024 comme le bondissant PONA NINI et sa choré déjà passée à la postérité. Pour vous échauffer et avoir une idée de la liste d’invités qui devrait être aussi longue qu’un discours de Fidel Castro de la belle époque, matez en entier son passage dans l’émission Dans le Club d’Arte, où il  se retrouve tour à tour torse nu et au milieu de la foule. Merci pour les travaux Tiako.  Mise en vente des places le jeudi 28 novembre 2024, à 10h. Quand ? Les 26 et 27 mars 2025.Où ? Accor Arena, 8 boulevard de Bercy, Paris 12e.Combien ? On saura le 28 novembre, à 10h.
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  • Dans nos Assiettes
Depuis Les Chemins, la table gastronomique du Domaine de Primard (qu’il a quittée cet été), Romain Meder a fait de la route. En attendant l’ouverture de son restaurant à lui, le chef se pose derrière les fourneaux de… Cravan ! L’immense temple de la mixologie en plein cœur de Saint-Germain-des-Prés accueille cet artiste du végétal pour quatre jours de régalade, du 11 au 14 décembre 2024. Grand menu et petites assiettes Au 3ᵉ étage, il va fignoler un menu gastronomique tarifé à 165 € avec un accord mets et cocktails pensé avec les mixologues de Cravan. Si le détail n’est pas encore connu, le chef annonce travailler des ingrédients d’hiver (racines, agrumes et truffe noire) mariés à de la Saint-Jacques ou du homard. Un réveillon à la veille du réveillon ! Pas assez faim ? Pas de problème ! Romain Meder va se pencher ausis sur les petites assiettes du 1ᵉʳ étage. Vous pourrez fourchetter des frites de panais au ketchup de betterave et sauce molé ; des coquillettes à la bolognaise de salsifis et tomme de brebis ou une salade de courge, clémentine et pralin. Autant dire apéro en or ! Quand ? Du 11 au 14 décembre 2024Où ? 165 bd Saint-Germain, Paris 6ᵉ
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Son nom, c’est un peu comme une légende qui traîne dans les couloirs du Louvre. Son visage, énigmatique à souhait, avec ce sourire qui ne cesse de titiller les foules depuis des siècles. La Joconde, peinte par Léonard de Vinci entre 1503 et 1506 (ou peut-être entre 1513 et 1516, ou alors carrément jusqu’en 1517… qui sait, et qui saura ?), est l'une des œuvres les plus iconiques et les plus scrutées du musée.  Mais si on connait bien le côté pile, qu'en est-il de la face (cachée) ? L’examen annuel de la Joconde  – qui doit permettre, chaque année donc, de vérifier son état de conservation – aura aussi été l'occasion d'apporter une réponse à la question.  Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Rachida Dati (@rachida.dati) En tout cas, une chose est sûre, le portrait de Monna Lisa ne risque pas de quitter Paris. « Avec le temps, le tableau peint sur un panneau de bois de peuplier très mince s'est courbé et présente une fente nettement visible au dos, côté gauche », expliquait déjà Vincent Pomarède, le conservateur en chef du département des peintures, en 2011 au Figaro. « Tous mes homologues en France comme à l'étranger savent cela. Même quand nous la décrochons pour son examen annuel, nous ne l'amenons pas au laboratoire, nous l'étudions en salle. Deux heures en dehors de son caisson isotherme suffisent pour constater que sa fente s'élargit. » N'en déplaise à Peruggia.
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Ça y est : il caille. Alors pourquoi ne pas profiter d’un peu de chaleur humaine pour faire grimper la température ? Ça tombe bien, les musées parisiens regorgent de bisous, lèvres fermées ou tout mouillés, torrides ou chastes, mythologiques ou engagés, à mater avec ou sans amoureux(se). Petit tour d’horizon des baisers parisiens en six étapes. Le Baiser de l'artiste. Le distributeur automatique ou presque !, ORLAN On est en octobre 1977 et la quatrième édition de la FIAC bat son plein. Au programme ? Coupes de champagne, tableaux de maîtres et une performance scandaleuse signée ORLAN. Alors jeune artiste encore peu connue du public, la Française dévoile sa nouvelle installation interactive dans laquelle elle propose aux visiteurs de la foire de l’embrasser, pour 5 petits francs glissés dans une structure-distributeur mettant en volume une photographie de son buste nu. Pas chaud pour la pécho ? Les amateurs d’art du Grand Palais peuvent faire don d’un cierge à la madone installée à côté de l’artiste, renommée sainte Orlan pour l’occasion. Baiser tarifé et blasphème : inutile de vous dire que ça a fait parler. © Adagp, Paris Crédit photographique : Centre Pompidou, MNAM-CCI/Georges Meguerditchian/Dist. GrandPalaisRmn Réf. image : 4N11802 Où ? Centre Georges Pompidou, place Georges-Pompidou, Paris 4e. Le Baiser, Auguste Rodin Super hot au premier regard, le célèbre rond de bosse d’Auguste Rodin témoigne en réalité d’un épisode franchement violent. A l’origine destinée à orne
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Les grands magasins Printemps ne se contentent plus de surfer sur la vague du numérique : ils viennent de sauter tête la première dedans. Depuis peu, le groupe accepte les paiements en cryptomonnaie. Un mouvement qui fait sens quand on sait que, d’après le baromètre 2024 de l'Association pour le développement des actifs numériques (Adan), 12 % des Français – et pas seulement les geeks – ont déjà un pied dans l’univers des cryptos, des NFT ou des stablecoins. La crypto', pour les nuls : de l'argent version digitale et décentralisée, qui file d’un portefeuille virtuel à un autre sans passer par les banques. Pas de pièces ni de billets : tout est basé sur une technologie appelée blockchain, un immense registre numérique ultra-sécurisé. Le truc cool ? Pas besoin de chéquiers ni de RIB à rallonge – ici, tout se fait en quelques clics, que vous achetiez une pizza ou une œuvre d’art virtuelle.  Les Grands Magasins Printemps passent à la cryptomonnaie Un gros pari, quasi iconoclaste, qui secoue un secteur souvent coincé dans ses traditions. Pour se faire, Printemps s'est associé à la plateforme d’échange de cryptomonnaies Binance (et sa solution de paiement Binance Pay) et Lyzi, entreprise française spécialisée dans le réglement en cryptomonnaies. « Alors que le retail continue d'évoluer, nous sommes fiers de voir notre technologie soutenir une enseigne française aussi emblématique que le Printemps », déclare David Princay, PDG de Binance France, dans un communiqué. « Cette initiativ
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« 93 tu peux pas test », disait Mac Tyer en 2006. Dix-huit ans plus tard, le photographe Marvin Bonheur semble reprendre à son compte l’antienne du rappeur avec La Trilogie du bonheur, un livre célébrant la Seine-Saint-Denis à l’aide de clichés beaux et bruts comme le bâtiment de la Bourse du Travail de Bobigny. Sorti cet automne chez Cé Editions, ce très beau livre de Marvin Bonheur retrace chronologiquement, en trois parties (« Alzheimer, le souvenir de mon 93 » ; « Thérapie, le visage des oubliés » ; « Renaissance, Revanche 93 ») quatre ans de pratique photographique et de questionnements sur son rapport à la Seine-Saint-Denis. Tout a commencé pour lui en 2014, l’année où il arrive à Paris après avoir quitté le 93, qu’il se met alors à explorer et photographier. C’est ce qui fait que ce livre transpire l’honnêteté : Marvin Bonheur est un local. Le 93, il ne le fantasme pas, il l’a vécu et il le photographie (à l’argentique) sans autre objectif que de raconter le quotidien des habitants et de leur environnement. Une jolie respiration Ça donne des séries de paysages avec des bâtiments dignes de l’ex-URSS (ha cette fascination pour la perspective verticale), des commerces restés dans les années 1990 ou cette dalle d’immeuble lézardée qui donne l’impression d’avoir été recouverte de lave. L’autre sujet, ce sont les gens, qui jouent au Uno, qui galèrent dans la ligne 13, qui font du motocross, qui font la queue au camion de glaces – très Martin Parr celle-ci – ou qui demandent
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Surprise ? Pas tellement. [Notre] plus belle avenue du monde – l’avenue des Champs-Élysées, pour ceux du fond – est aussi l'une des rues commerçantes les plus chères de la planète. Elle se hisse même à la 5e position du classement 2024 de Cushman & Wakefield, leader mondial en immobilier professionnel, avec un loyer annuel moyen de 12 519 €/m² (soit +10 % par rapport à l’année dernière). D’autres poids lourds parisiens, comme la Rue Saint-Honoré et l’Avenue Montaigne, continuent de tenir le haut du pavé, boostés par le grand retour des touristes (+11 % en 2023) et une armée d'acheteurs internationaux toujours à la recherche du luxe français. En tête de cette 34e édition, Via Montenapoleone, épicentre du chic milanais, où les vitrines Gucci et Prada jouent à qui scintillera le plus. Une rue où même les pavés semblent apprêtés et le parfait spot pour claquer son PEL. Loyer annuel moyen : 20 000 € le mètre carré. Outch. Juste derrière, l'indéboulonnable Upper 5th Avenue (19 537 €/m²) de New York, suivi de près par New Bond Street, le vieux Londres à la sauce luxe, et Tsim Sha Tsui, cœur palpitant de Hong Kong côté Kowloon. Partout dans le monde, les loyers des rues stars s’envolent de 4,4 % et dépassent les sommets d’avant Covid. Face à cette escalade, les grandes enseignes jouent sur tous les tableaux, entre boutiques immersives et stratégies digitales pour capter l’attention de clients toujours plus exigeants. Les 10 rues commerçantes les plus chères du monde Via Montenapoleo
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  • Dans nos Assiettes
Après un bouillon dans le 17e et des banquets estivaux en face de Notre-Dame, Jean Covillault, candidat rayonnant de la saison 14 de Top Chef, persiste dans l’éphémère. Mais attention, cette fois, son pop-up est servi avec un gros supplément d’engagement et de durabilité. Baptisé Des Restes, en partenariat avec la chaîne d’épiceries Nous Anti-Gaspi, ce restaurant va lutter contre le gaspillage en ne proposant que des plats réalisés à partir de 80% d'ingrédients trop petits, pas assez beaux ou un peu trop vieux, bref, plus proches de la benne que du cabas. Pour mémoire, Greenpeace estime qu'en France, 10 millions de tonnes de nourriture sont gâchées chaque année, représentant 16 milliards d'euros de perte ! Le jeune chef se fait fort de les transformer en assiettes bistrotières gourmandes avec un menu va changer tous les jours selon les arrivages. Mais son prix, lui, va rester constant dans le modeste : 22 € pour la totale. Une addition plus que digeste et un beau geste, vive Des Restes ! Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Jean Covillault (@jeancovillault) Quand ? Du 26 novembre au 30 mars 2024 Ouvert du mardi au samedi soir - Service au déjeuner le samedi Où ? 16 Rue Pastourelle, Paris 3e Réservation ici Par ici pour découvrir les autres restaurants de candidats passés par Top Chef  
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Le carreleur en chef des street artistes vient de finir une nouvelle pièce. Cette semaine, sous les auspices de la galerie Itinerrance, de la mairie du 13ᵉ et du bailleur de la Sablière, une œuvre de l’artiste français Invader a été dévoilée sur la façade d’un bâtiment situé au début du boulevard Blanqui, dans le 13ᵉ arrondissement, bastion du street art parisien. Matriculée PA_1525, cette création n’est rien de moins que la plus grande œuvre jamais réalisée, dépassant celle installée en 2019 au-dessus de la fontaine Stravinsky à Beaubourg. Toisé, nous confirme la galerie Itinerrance, à 6 par 12 mètres en comptant les cheminées, pour un total de 72 mètres carrés, cet Invader est formé de 250 carreaux de carrelage. Pour la colorimétrie, on retrouve du vert, du blanc et du rouge, histoire de célébrer le drapeau transalpin – parce que oui, on est place d’Italie. Pour les flasheurs fous, ce sera 100 points, le maximum, dans votre besace. Bonne traque ! Pour plus de street art à Paris Depuis une dizaine d'années, le street art parisien a beaucoup mûri, autant qu'il s'est institutionnalisé. Des murs entiers lui sont ainsi dédiés, comme celui de la rue Henri-Noguères près du canal de l'Ourcq, un mur de la rue Oberkampf près du café La Place Verte, celui de la rue Jean-Poulmarch le long du canal Saint-Martin, un autre rue d'Aubervilliers près du 104 ou encore devant le pavillon Carré de Baudouin dans le 20e. Chez Time Out, on adore ça ! On a donc décidé de bourlinguer dans tout Paris
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