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Au lendemain de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, le metteur en scène Thomas Jolly s’est exprimé sur ses choix. Notamment celui, audacieux et largement salué, d’associer Aya Nakamura avec la garde républicaine devant l’Institut de France, le siège des académies. Un parti pris assumé pour promouvoir la « vivacité de la France et de sa langue », comme il l’explique au journal Le Monde.
« Cette rencontre entre ces deux types d’art – l’art académique, plus institutionnel, et l’art pop, urbain, moderne – pouvait créer de la beauté. Toute la soirée, dans tous les tableaux, j’ai voulu dire : on croit que ça ne va pas ensemble, on veut mettre des choses dans des cases, mais en réalité quand ces cases se rencontrent, ça crée de la beauté, ça crée de l’émotion, ça crée de la joie, ça crée du partage. » Et vous, qu’en avez-vous pensé ?