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Tout ce qu’il faut savoir sur la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques

Le show olympique continue avec une nouvelle cérémonie d’inauguration hors les murs, cette fois sur les Champs-Elysées.

Écrit par
Smael Bouaici
Paris 2024/Florian Hulleu
© Paris 2024/Florian Hulleu
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Après la Seine, les Champs ! Un peu comme le Tour de France, les Jeux paralympiques vont s’offrir un tour de la plus belle avenue du monde pour leur cérémonie d’inauguration le 28 août, avec une arrivée sur la place de la Concorde qui sera transformée en théâtre XXL avec quatre scènes ! Quelque 4 400 parasportifs (dont 240 Bleus menés par les deux porte-drapeaux Nantenin Keïta et Alexis Hanquinquant) défileront depuis l’Arc de Triomphe à partir de 20h ce mercredi, sous le soleil cette fois – a priori. 

L’affaire sera aussi moins compliquée à sécuriser avec “seulement” 50 000 personnes dans le public, 35 000 places payantes en tribunes (il restait encore quelques places à 450 et 700 euros mardi midi sur la plateforme officielle) et 15 000 places gratuites en bas des Champs (déjà parties, vous vous doutez bien). 

Du “festif et politique” au programme

La cérémonie de trois heures a été elle aussi imaginée par Thomas Jolly, directeur artistique des Jeux de Paris, qui avait mis la fachosphère en PLS lors de celle des JO fin juillet. A quoi faut-il s’attendre ? A du “festif et politique”, persiste Jolly, qui misera encore une fois sur les valeurs très olympicompatibles d’inclusion et de diversité dans les différents tableaux d’un spectacle axé sur “le corps”.

Après le défilé, qui doit durer une heure et demie, sont annoncées “des performances jamais vues auparavant” (un Philippe Katerine tout vert ?) avec des chorégraphies signées Alexander Ekman, expert des scénos tape-à-l’œil, et réalisées par 150 danseurs et danseuses, dont une partie en situation de handicap. Musicalement, Victor Le Masne a préparé une “traversée de notre répertoire musical” pour imager tout ça. Et bien sûr, la cérémonie se terminera avec l’envolée de la vasque olympique, qui devrait continuer à veiller sur le ciel parisien après les Jeux.

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