Avec le festival Suresnes Cités Danse, ça va remuer dans le 9-2 en janvier !

Le festival de toutes les danses, Suresnes Cités Danse, rempile pour une 33e édition, véritable ode à l’amour du mouvement et du “danser ensemble”. Ça se passe au Théâtre Jean Vilar, du 10 janvier au 9 février. On vous dit tout.
Suresnes
©Compagnie SKANDA
Écrit par Time Out. En partenariat avec le théâtre de Suresnes
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Presque aussi vieux que Footloose (oui, chacun ses références), ça fait depuis 1993 que le festival Suresnes Cités Danse invite l’Île-de-France à célébrer les danses urbaines et contemporaines. Du 10 janvier au 9 février 2025, pour la 33e fois, le Théâtre Jean Vilar sera l’épicentre de cet événement parfait pour débuter l’année en mouvement (il faut bien rattraper le coup après les fêtes). Put on your dancing shoes et lisez le programme !

Du pas de deux au corps de ballet

Si rien ne vous empêche de vous déhancher lors du Bal Swing ambiance années folles ou de vous accorder un ultimo giro di pista, à l’occasion du grand bal participatif organisé par le théâtre, ne manquez pas les performances des artistes sélectionnés avec soin par Carolyn Occelli, directrice artistique de l'événement. Au Théâtre et hors les murs, 17 chorégraphes, 34 représentations et plus de 85 danseurs et danseuses vous donnent rendez-vous pour un programme entre ballets, battles, bals et créations originales.

Ce sera parfois intime, à l’image des duos Bernard d’Allison Faye, Juste un moment de Christophe West et Gaël Grzeskowiak et Mon Petit Cœur imbécile d’Olivier Letellier et Valentine Nagata Ramos. Et parfois mégalo avec des troupes bien fournies : les dix danseurs de Tendre Colère de Christian et François Ben Aïm, les 24 performeurs du Ballet de Lorraine pour Static Shot de Maud Le Pladec et Malòn d’Ayelen Parolin, ou les 12 étoiles du Ballet de l’Opéra de Tunis dans le Carmen d’Abou Lagraa.

Et au milieu de tout ça, des créations en trio ou en quatuor (Potomitan de Jade Lada ; Agapé de Jérémy Alberge). Des formats différents mais le même amour du mouvement et du danser ensemble, valeurs cardinales du festival.

Alors on danse ?

Qui dit communion dit associations de genres – parfois inattendues. Sur les différentes scènes du Théâtre Jean Vilar, on passera du break au jonglage (La Fabuleuse Histoire de BasarKus de Sylvère Lamotte), du cabaret à la danse contemporaine (REVUE de Sarah Adjou), du hip-hop au tango (Aesthetica de Patrice Meissirel), du swing à la house (_GROUND de Diego “Odd Sweet” Dolciami), et du show introspectif au spectacle pour enfants (Giro di Pista d’Ambra Senatore et Marc Lacourt). 

Évidemment, voir tous ces artistes incroyables sur scène, ça va donner envie de bouger son corps. Pour celles et ceux qui ont déjà une street cred, rendez-vous au battle hip-hop ouvert à tous le 8 février. Et pour danser sans pression, ça se passe le 19 janvier lors du bal swing (avec un vrai jazz-band) ou lors des ateliers cabaret, danse et tango ouvert à toutes et tous. Comme si tout cela ne suffisait pas, les tarifs sont particulièrement attractifs avec des places à partir de dix euros pour les jeunes de moins de 28 ans.

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