Depuis son album miracle Wooden Arms (2009), chacune de ses releases sont des promesses de nouveaux paysages sonores, des explorations qui mêlent tantôt les guitares sèches que l’on emmène en voyage, tantôt des envolées vocales qui emportent vers d’autres terres. Et on se croirait parfois dans un cabaret aux allures classico-pop. Avec Love Songs for a Robot, son cinquième et dernier opus (2015), Patrick Watson cherche toujours à tracer le contour des émotions, celles qui font de nous des êtres humains et nous différencient des machines, celles qui nous rendent plus faibles, ou plus forts. Préparez les mouchoirs.
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