Solidays - Jour 1

  • Musique, Festival de musique
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Time Out dit

Pour la première soirée du festival, l’équipe du Solidays s’est fendue d’une programmation à la fois rock et grand public. Apprécié par les connaisseurs et signé chez le pointu Innovative Leisure, le Californien Hanni El-Khatib s’est fait un nom en France après avoir fait la couverture du magazine Tsugi et la première partie de Johnny Hallyday, au Zenith, en 2013. Un choix surprenant (des deux côtés), mais payant. Reconnu à sa juste valeur par l’industrie musicale, le chanteur californien fait office désormais de nouveau pape de la scène garage française, produisant entre autres le prochain album des Wall of Death, tout en étant adulé pour son dernier 'Moonlight' qui lui promet une carrière digne des Black Keys. Sauvages également, les Palma Violets font partie de cette nouvelle vague de groupes anglais faisant revivre la folie des années 1990. Inspiré par Supergrass, le quintet offre une pop punk entraînante, pleine d’harmonies de comptoir et de solos ivres d’harmonica, rehaussée par des rythmiques tout droit sorties d’un disque des Inspiral Carpets. 

Avec des influences tout aussi exquises, Isaac Delusion ouvre le plateau à des rêveries plus électroniques. Puisant dans l’electronica de la décennie 1990, le gang français viendra défendre sa musique d’une ouverture sans égal. Une qualité partagée avec le duo de The Dø, toujours apprécié des publics pour son électro-pop évocatrice d’une douce mélancolie, ou leur pendant folk australien Angus & Julia Stone, que l’on retrouve avec bonheur après leurs incartades en solo. Aux Solidays, la réunion fait la force.

Infos

Site Web de l'événement
www.solidays.org/
Adresse
Prix
41,50 €
Heures d'ouverture
16h
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