Il y a du Ian Curtis en Luis Vasquez, c'est un fait. Invoquant le fantôme du créateur de Joy Division sans rien renier des apports de Suicide ou de Neu!, les chansons de The Soft Moon embarquent l'auditoire dans un tourbillon de guitares nerveuses et de basses hypnotisantes, tantôt inquiétantes, tantôt habitées. « Back to eighties! »