‘HIP-HOP, du Bronx aux rues Arabes’ : « Ce qui m’a le plus marqué dans cette expo, c’est le manuscrit original de "Je danse le MIA" d’Akhenaton, écrit au stylo et bourré de fautes alors qu’il avait dans les 13-14 ans. C’est d’ailleurs lui le commissaire de l’exposition, il a donc fait ses propres choix pour retracer l’histoire de la culture hip-hop. »
‘Au temps de Klimt’ : « J’ai été assez déçu car la seule œuvre présente de lui était une reproduction de la frise Beethoven ; en même temps c’est assez compliqué de transporter un mur (34 mètres de long). Je m’attendais à voir plus de Klimt, mais l’expo était surtout centrée sur le contexte historique. Intéressant néanmoins. »
‘Tatoueurs, tatoués’ : « Je n’ai pas trop aimé, c’était à l’image du quai Branly, assez réducteur. Je reconnais le geste de faire une expo sur le tatouage mais c’était trop petit et surtout axé sur son histoire. Je m’attendais à voir plus d’œuvres contemporaines. »