Style : Stargate SG-1
Nombre de joueur : de 3 à 6 (optimal 5)
Difficulté : Intermédiaire
Taux de réussite : 50%
English version : Yes!
Durée : 60 minutes
Parce que vous êtes des explorateurs de génie, vous avez trouvé le moyen d’utiliser un portail interstellaire. Des génies pas si malins, parce que vous voilà bloqués dans une base militaire désaffectée, quelque part dans l’univers. Avant que l’oxygène ne tombe à zéro, et vous par terre, il va falloir trouver le moyen de repasser par le portail. Eh oui, il n’y a pas encore Uber dans l’espace.
Si l’ambiance spatiale n’est pas très originale pour un escape (un peu de science, un peu d’alien et un bunker béton bien triste), Victory s’en sort par ses agencements. Les micro-espaces escortent parfaitement la gigantesque salle de la Porte. Tout est bien lié et le scénario, comme les mécaniques, profite fort de ce jeu d’échelle.
Mais pour s’en sortir il faudra créer son commando de l’espace, voir ensemble qui gère les cartes, qui s’occupe des codes extraterrestres, qui sera l’ingénieur en chef, etc. Pas évident parce que si l’on est obligé de se spécialiser, ça laisse toujours un ou deux joueurs sur le carreau. Et puis pas la place pour un guerrier astral… Tu pourras laisser tes muscles de Guardien de la Galaxie à l’entrée.
Les "+" :
- La Porte des étoiles comme si vous y étiez
- La structure de la partie
- Les jeux lumineux ou l’escape du futur
- Se retrouver autour de la carte du Cosmos
- Quand tu crois que c’est fini et qu’en fait non
Les "-" :
- Une première salle carrément médiocre
- Les énigmes tableau Excel
- Souvent impossible d’impliquer toute l’équipe
- Trop de factice tue le factice
- Rentrer à 6 dans l’ascenseur, c’est possible ?