Tokyo débarque à Paris le temps d’un festival qui pourrait être le hit de l’année

Aux Magasins Généraux de Pantin, la première édition du festival Tokyosaï se donne quatre jours et une nuit pour vous plonger dans l’effervescence de la scène artistique contemporaine nippone.
emi kusano magasins généraux tokyo
Emi Kusano
Écrit par Time Out. En partenariat avec les Magasins Généraux.
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Tokyo hit en perspective ! En février 2024, la plus grande ville du monde va se faire une petite place dans le Grand Paris. Expo, pop-up store, food et clubbing : chaque pan de la création locale sera représenté dans ce mini-Tokyo reconstitué à Pantin. Aller-retour prévu du 1er au 4 février, certifié sans jet-lag, le temps d’un weekend aussi chaud bouillant qu’à Shibuya. On vous détaille nos trois étapes préférées du trip !

Une expo aventureuse pour commencer

Premier arrêt : l’art contemporain nippon sous toutes ses formes dans les espaces d’exposition. Au programme : les clichés surréalistes de la photographe Yuni Yoshida (qui adore jouer avec la nourriture), les immenses toiles textiles de Ken Yashiki reprenant les techniques de l’art traditionnel du kimekomi (qui consiste à encastrer des bouts de tissu dans les fentes d’objets en bois), mais aussi les dessins digitaux aussi étranges qu’érotiques de Sawako Kabuki. Et pour ceux qui voudraient ramener un morceau d’art(isanat) à la maison, un concept store curaté par la team du magazine Tempura proposera tout un tas d’objets, jeux et éditions à la sauce tokyoïte ! Par exemple ? Une sélection inédite de sofubi (ces petites figurines en mousse très populaires au Japon), customisées par différents artistes.

Une pause café ou saké

Pour la pause miam, passage obligé dans l’un des stands de restauration aménagés au sein du festival. En fonction de l’heure de la journée, vous aurez le choix entre un coffee shop qui a du chien imaginé par le Shiba Café, un comptoir à handrolls mené à la baguette par Doki Doki, ou un bar à saké tenu par la Maison du Saké, qui servira notamment de l’umeshu, cette liqueur de prune typiquement tokyoïte. Nom nom nom

Un mini-club pour finir en beauté

Le samedi soir, le festival joue les prolongations avec l’ouverture d’un mini-club à la japonaise, un kobako ambiancé par Cabaret Recordings, le label de house du génial So Inagawa ! De 19h à minuit, DJ Masda, le cofondateur du label, partagera les platines avec le duo de Berlinoises ERIS. Paris, c’est loin ! 

Toutes les informations pratiques sont ici.
Trois forfaits sont proposés : pour l’exposition, la soirée et le combo exposition / soirée. Plus d’infos sur la billetterie ici.

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