Pour qui ? Les nostalgiques du Liban et les gélatophiles allergiques aux glaces industrielles bourrées de colorants et d'additifs.
Plat culte ? La glace ashta (crème de lait) enrobée de brisures de pistache, onctueuse à souhait.
Oubliez les sorbets édulcorés : ici, c’est du fat, du vrai, du lourd ! Ce spécialiste de la glace libanaise né en 1936 dans le petit village de Bikfaya (à une demi-heure en voiture de Beyrouth) régale les palais parisiens avec cette première enseigne française, à deux enjambées du Centre Pompidou et du bouillonnant quartier des Halles.
Choisissez un ou plusieurs parfums au choix (carte ramassée) puis la taille, en précisant si vous préférez un pot ou un cône. Trois formats s’offrent à vous : petit (3,90 €), classique (4,60 €) ou grand (5,40 €). Côté saveurs, pas d’hésitation : gros pouce en l’air pour les glaces warde (pétales de rose), festouk (pistaches) ou laouz (amande)… Toutes gourmandissimes et 100 % bio !
La crème de la crème ? La glace achta : un délire porn food combinant pétale de rose, pistache et crème de lait, surmonté d’une chantilly maison, elle-même recouverte de brisures de pistache. Il vous en coûtera quelques euros de plus (et quelques grammes dans le fessier), mais quel kiff (6,40 € le petit format; 7,10 € le classique et 7,90 € le grand). A emporter devant un bon film au MK2 voisin !