Pour qui ? Les nostalgiques de Tel Aviv
Plat culte ? Les foies de volaille ashké (8 €), la chakchouka (10-14 €)
Pour celles et ceux qui n’ont pas eu la chance de faire allemand LV1, blitz signifie « éclair ». Rien à voir avec la pâtisserie. Ici, il s’agit plutôt de se faire plaiz à coups de foies de volaille ashké (8 €) ou de schnitzel – escalope de poulet panée, un brin sécos mais heureusement escortée d’une crème pimpée au zaatar et herbes (15 €).
Bois blond, mur végétal, bananiers… La Méditerranée n'est jamais loin et on plonge avec délice dans le bleu des murs carrelés. Côté héritage sépharade ? Un pain pita à diper dans un super houmous au zaatar (6 €); et cette bête de chakchouka – poivrons et tomates en ratatouille, topés d’un œuf, le tout pimenté juste ce qu’il faut (10 ou 14 € selon la taille).
Entre deux bouchées, on s'envoie un gorgeon de bière artisanale (La Brasserie Fondamentale, 6 € les 33 cl), du bon jaja au verre (4,50-8 €) ou à la bouteille (25-42 €) et des cocktails à prix sages (7-12 €)… En dessert, le malabi, panna cotta à la fleur d’oranger et pistaches concassées, un peu trop gélifiée mais au bon goût d’ailleurs, achève de nous foudroyer de bonheur. Ajoutez à ça une ambiance survoltée à la nuit tombée, un spot plein à craquer de beaux minets et jolies filles, un brunch du dimanche à 26 € (12h-15h), et vous tenez LE spot où rejouer les folles nuits (ou lendemains qui chantent) florentines.