Oubliez les dépôts-ventes poussiéreux et hors de prix. Bobby Second Hand met un coup de pied dans la fashion fourmilière et propose de véritables bombes accessibles à toutes les bourses, tout en squattant bien au chaud un espace hypercool.
À première vue, on se croirait dans une friperie branchouille de Paris. Que nenni : à quelques enjambées du métro Sentier, Bobby Second Hand est une caverne d’Ali Baba de deux étages au je-ne-sais-quoi de tropical jonchée de déco rigolote et de lampes en papier japonaises. Un joyeux bordel dans lequel l’espace est bourré à craquer de portants hommes et femmes pour toi, plus moi, plus tous ceux qui veulent.
Nina, la (jeune) fondatrice du lieu, nous explique en toute détente qu’elle ne trouvait jamais son bonheur dans les dépôts-ventes classiques. Son offre, ultradiverse, est tout sauf snob : des pièces de saison, pas forcément griffées mais toujours mode avec une pincée de vintage. Chaussures, jupes, robes, sacs, maillots, chapeaux, lunettes de soleil, vestes… Impossible de ne pas trouver son bonheur dans le choix de Nina, qui s’étale dans cet espace gigantesque baigné de lumière et qui nous fait nous sentir comme à la maison, en beaucoup plus vaste.
Si l’on ne devait emporter qu’une pièce :
Sus aux robes de petites marques de l’année dernière, genre Sandro, pour 60 euros.