Fans de rock, de kraut et de zique de Detroit, Nathalie et Catherine ont tenu pendant une dizaine d’années un bar de musique électronique à Montmartre (les Taulières). Mordues de très bon chocolat, elles découvrent le travail en bean to bar (littéralement “de la fève à la tablette”). Kezako ? Quand vous achetez un bonbon de chocolat ou une tablette chez un pâtissier (ou même un chocolatier de renom), il y a de fortes chances pour que le chocolat qui ait servi à le fabriquer provienne d'une grande entreprise… Et n'ait pas été concocté sur place, à partir de fèves fraîchement torréfiées.
Fascinées par cette tendance encore très underground, ces deux nanas passionnantes décident de lancer Kosak en 2014 dans leur fief montmartrois – quartier mythique où des Cosaques s’installèrent en 1814 – en réunissant dans leur microspot aux couleurs pop les meilleures marques du bean to bar. Résultat ? De l'or en barre : les dealeuses de chocolats de grands crus nous régalent avec des produits bien sourcés un peu partout dans le monde. Surtout, elles revendiquent une transparence et traçabilité de A à Z de la chaîne, avec des producteurs vertueux rémunérés à leur juste valeur, et une came superpure : du cacao et sucre uniquement, zéro lécithine, vanille ou émulsifiants.
Parmi nos préférées ? Les tablettes de l’incroyable chocolaterie tchèque Ajala Chocolate, celles du chocolatier vietnamien Marou, ou des Néo-Zélandais de Hogarth. Miam !