Le bonheur de ces dames (et de ces messieurs) fait généralement le malheur des épargnes dans les grands magasins du boulevard Haussmann. Véritable ruche d’enseignes françaises et internationales blottie dans l’élégance d’un immeuble haussmannien, le Printemps grouille de prêt-à-porter, d’accessoires, de chaussures et de produits de beauté haut de gamme (plus de 200 marques de cosmétiques représentées) ; bref, de tout ce dont vous aviez envie et tout ce dont vous ne pensiez même pas avoir envie. Le sport local : butiner de marque en marque sur les huit étages du Printemps Mode ou les sept étages du Printemps Homme, et scruter les rayons de mobilier, de coutellerie et de design d’intérieur du Printemps Maison, à l’affût, par exemple, d’un des rares cadeaux de mariage susceptibles de ne pas vous ruiner.
Pour reprendre des forces, plusieurs options s’offrent à la clientèle flanquée de sacs criblés : le Printemps dispose d’un salon de thé (Pouchkine), d’un bar dessiné par Paul Smith (le World Bar), d’un café (Café Be) et d’une pâtisserie Ladurée. Les shoppeurs les plus distingués se dirigeront directement vers La Brasserie de la Coupole (au sixième étage du Printemps Mode) ou vers le neuvième étage du Printemps Maison pour carburer aux joies des apéros du Déli-cieux, avec vue panoramique sur la capitale.
Pendant les fêtes, une fois tous vos cadeaux achetés, votre garde-robe refaite et votre mois de salaire dilapidé, ne ratez pas les fameuses vitrines de Noël aux designs spectaculaires qu’il fait bon admirer depuis le trottoir, une poignée de marrons chauds au fond des gants.