Si la cohue du Louvre et des arcades du Palais-Royal vous essore les synapses, rendez-vous dans le jardin. Avec ses deux hectares, son bassin central enserré de quatre doubles rangées de tilleuls et de marronniers, le lieu a de sacrés atouts, sans compter les quelque 500 autres arbres et les massifs fleuris repensés dans les années 1990 par le paysagiste américain Mark Rudkin.
Côté sculptures, s’il est quasi impossible de passer à côté des emblématiques et contestées 260 colonnes de Buren, il ne faudra pas oublier Le Charmeur de serpents d’Adolphe Thabard, Le Pâtre et la Chèvre de Paul Lemoyne et la fontaine à boules de Pol Bury. Une vraie petite expo en plein air.