Pochettes dossier albums français yéyé partie 1

Les 70 meilleures pochettes d'albums français

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Françoise Hardy • Sans titre (1962)

Pourquoi : Est-ce vraiment nécessaire de justifier la présence ici d'une des plus belles femmes de l'histoire de France, auteur et compositeur à la grâce incomparable ? 18 ans au compteur sur cette photo mythique signée Jean-Marie Périer, photographe attitré de l'ère yéyé.

Ronnie Bird • 45 tours (1964)

Pourquoi : Avec sa casquette de marin et son faux air d'Eric Burdon, Ronnie Bird évoque davantage les îles britanniques que le Limousin. Né à Boulogne-Billancourt, Ronald Méhu adopte vite les codes anglais, cheveux longs précoces et bon goût du rhythm'n'blues, tout ça par la grâce d'une classe monumentale comme on peut le constater sur cet EP qui se monnaie 90 euros désormais.
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France Gall • Sans titre (1964)

Pourquoi : Entre sa petite voix agaçante et l'anecdote des sucettes où Gainsbourg se moque d'elle en lui faisant chanter des paroles ambivalentes, c'est peu dire que France Gall a mauvaise presse. Pourtant, combien de morceaux démentiels durant les années soixante ? Un paquet, porté par le coffre de cette charmante demoiselle tenant une rose sur son premier 33-tours.

Françoise Hardy • Sans titre (1964)

Pourquoi : A l'époque, beaucoup auraient bien aimé se faire livrer Françoise Hardy dans une malle avec accusé de réception. C'est d'ailleurs ainsi qu'elle apparaît au revers de la pochette de son second album.
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Ronnie Bird • "1965" (1965)

Pourquoi : Encore Ronnie Bird ? Oui, mais vous avez vu cette pochette clair-osbscur qui contraste avec les lettres colorées (tiens, comme Françoise plus haut) ? C'est lumineux.

Jacques Dutronc • Sans titre (1966)

Pourquoi : Après Françoise, voici son compagnon. Doigt levé de professeur Dutronc, portrait en pied au grand angle qui épouse la diagonale du 33-tours, pas besoin de grand-chose pour réaliser une pochette mythique.
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Eddy Mitchell • Perspective 66 (1966)

Pourquoi : On parle du bleu Klein, mais le bleu Eddy ? Posant en trench en dessous de la rue Mitchell (haha) et sous un titre épatant, le chanteur offre une pochette au flegme classieux digne de Schmoll.

Sylvie Vartan • Sylvie (1966)

Pourquoi : Dix-huit fois Sylvie Vartan ou le visage de l'artiste sous tous ses angles. Pochette warholienne et joliment moderne pour la « lycéenne du twist », future madame Hallyday.
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Joe Dassin • A New York (1966)

Pourquoi : Costume anthracite, moto, gratte-ciels, Joe Dassin réalise son rêve américain sur cette pochette aux bords arrondis, urbaine et cool.

Michel Polnareff • Sans titre (1966)

Pourquoi : Semblable à la peinture d'un joueur de luth de la Renaissance, la composition de la pochette du premier disque de Polnareff immortalise la période beatnik du musicien, quand il chantait sur les marches de la butte Montmartre.
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