Il fallait oser transposer le mythe de Faust à l’heure d’Internet. Cela n’a pas fait peur à Emilie Valantin qui prête, une nouvelle fois, son talent à un grand classique sans oublier de faire quelques retouches par-ci, par-là, histoire de lui donner un peu de panache. Marlowe, Gounod, Goethe et Balzac comme référence. Une marionnette grandeur nature comme comédien. Un ordinateur high-tech comme fruit défendu et un harmonium comme fond musical. Tout cet ensemble donne une version sacrément rajeunie du mythe de Faust, succombant comme toujours à la tentation.
Durée : 1h20