Festival Play it again

Play it again

De Tati à Chaplin : 15 films restaurés à redécouvrir au Champo et au Mac-Mahon, du 22 au 28 avril

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Par Clémentine Thiébault

Parce que comme le dit Godard « quand on va au cinéma, on lève la tête », (re)levons la tête et profitons de la première édition du festival Play it again organisé dans toute la France du 22 au 28 avril par l’ADFP (Association des distributeurs de films du patrimoine) pour se payer une bonne séance de rattrapage. Choisir parmi les quinze films d’hier proposés en version restaurée dans une salle d’aujourd’hui et, minots sous le bras, foncer dans un ciné près de chez soi pour leur montrer comment c’était le spectacle avant le streaming domestique et les ordis réducteurs.

‘Playtime’ (Jacques Tati) en plein cadre ou ‘Le Bon, la Brute et le Truand’ (Sergio Leone) de nouveau en liberté dans la plaine. Les nouvelles més(aventures) d'Harold Lloyd en 4 courts-métrages (‘Harold chez les pirates’ / ‘Un, deux, trois... Partez!’ / ‘Mon ami le voisin’ / ‘Harold à la rescousse’) ou le Charlot festival en 3 (‘Charlot Patine’ / ‘Charlot Policeman’ / ‘Charlot émigrant’) par exemple. ‘Blackmail’ (le dernier film muet d'Alfred Hitchcock) en ciné-concert, même. Pour petits (surtout le burlesque de Charlot et Harold Lloyd), moyens ET grands.

Salles participantes :
- Le Champo - 51 rue des Ecoles, 5e - 9 € / 7 €
- Le Mac-Mahon - 5 avenue Mac-Mahon, 17e - 7,50 € / 6 €

Pour les horaires et séances, consulter la programmation des salles.

+ de écrans pour petits et grands

  • Cinéma
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Pour la fondation Jérôme Seydoux-Pathé, il n'y a pas d'âge pour découvrir le 7e art, même le plus pointu. A partir du 14 janvier 2015, les cinéphiles en herbe de 6 ans et plus sont conviés à des projections sur mesure. 
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  • Film d'animation
  • 4 sur 5 étoiles
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Seuls les studios Aardman – créateurs britanniques de ‘Wallace & Gromit’, ‘Chicken Run’ et d’autres adorables personnages en pâte à modeler – pouvaient avoir l’idée saugrenue d’employer une quantité industrielle d’argile pour raconter l’histoire d’un agriculteur amnésique, ayant égaré son troupeau en ville. Une grande partie de la beauté de ce film d’animation au grand cœur et en stop-motion réside dans son absence totale de langage intelligible (remplacé par des grognements, marmonnements, bêlements et autres cris d’animaux). 
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