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Léger changement de cap pour Arcade Fire avec ce nouveau disque, plus disco, plus dub (voir le très bon "Flashbulb Eyes", qui ressemble un peu au Clash - au singulier car on dit « le Clash »), plus dansant. Si ces nouveautés ont perturbé certains fans, elles ont aussi su séduire ceux qui auparavant n'aimaient pas le groupe, voire le haïssaient. On a pu ainsi voir un critique du webzine Gonzaï, traditionnellement hostile à Arcade Fire, s'enthousiasmer presque malgré lui pour le disque. On ne s'en plaindra pas, nous qui pensons que le groupe est depuis longtemps l'une des meilleures choses qui soient arrivées à la pop ces dernières années. Comme à chaque fois, le disque nécessite pas mal de temps avant d'être apprivoisé, il faut qu'il mature et trace son chemin dans l'esprit de l'auditeur, qui ne pourra bientôt plus s'en passer. Mélodies léchées, variété des arrangements, chants entraînants, on danse sur le single "Reflektor", on chante à tue-tête le plus rock "Joan Of Arc" et on finit par s'endormir doucement sur le fabuleux "Supersymmetry". Arcade Fire
New yéyé wave Certains les trouvent déjà trop mainstream, un brin « vendus ». Parce qu'ils sont passés au "Grand Journal" de Canal +, parce que leur 'Psycho Tropical Berlin' marche du tonnerre, parce qu'ils ont signé sur la major Barclay. Mais on oublie de dire l'essentiel, c'est que la magnifique édition vinyle est quant à elle publiée chez l'indépendant Born Bad. Surtout, le disque est une tuerie du début à la fin. Les chansons ont beau s'inspirer beaucoup des années 1980, d'une certaine esthétique surf, post-punk, garage et pop, elles ne ressemblent à rien qu'on puisse entendre aujourd'hui. Légères et sombres à la fois, incroyablement dansantes, intelligentes, elles emmènent l'auditeur dans un monde à part, où les voix masculine et féminine s'accordent parfaitement. Quelle diversité aussi entre les titres, car si "Antitaxi" et ses sonorités martiennes évoquent un B-52's à la française, le superbe "Nous étions deux" revisite et modernise génialement nos impayables yéyés, en se payant au passage un redoutable solo d'orgue, pause salutaire au milieu d'une logorrhée hallucinante de paroles. Ce petit chef-d'œuvre suffirait seul à vanter les mérites du groupe, mais les autres réussites ne manquent pas, qu'il s'agisse de la ballade "It's Time To Wake Up", du tube surf "Sur la planche 2013" ou encore du troublant "Si un jour", adorable ritournelle rétro-féministe (on se croirait en 1968) qu'il est rigoureusement impossible de se sortir de la tête. Alors qu'il n'aurait pu être qu'u
Samson avec le bon son Transformation radicale pour cette chanteuse, qui de diva new soul sympatoche s'est transformée en artiste pleine et entière. Il aura fallu l'histoire biblique de Samson et Dalila pour enfin révéler la chanteuse à elle-même et lui inspirer un virage électro-pop monstrueusement envoûtant. Concept-album donc, à la cohérence sonore redoutable, aux titres à la fois dansants, épiques, entêtants pour ne pas dire obsédants. Comment ne pas devenir obsédé par la beauté sombre du morceau "Igneous", par la pureté des textures électroniques sur lesquelles repose une voix mystérieuse et terrible ? Sans oublier ces breaks glitch et hip-hop qui achèvent de rendre fou l'auditeur. Parmi les grands moments du disque, il faut citer le splendide "Looking For Love", impérieux et classique, le groovy "Nothing Really Matters", le hit "The Apple", et la chanson titre, transposition émouvante du drame biblique de Samson, homme à la force herculéenne trahi par la femme qu'il aime. Curieusement, cet album presque parfait n'a pas reçu d'écho médiatique important, et la venue de V V Brown à la Flèche d'Or en décembre n'a pas fait de vagues, comme si la malédiction de Samson devait poursuivre tous ceux qui l'évoquent.
Romance San Carol Le micro label angevin Ego Twister Records abreuve le net de disques uniques et confidentiels. Des objets étranges bricolés par des compositeurs fous et solitaires, qui s'épanchent sur leur ordinateur, dans leur chambre, en créant des univers aussi barrés qu'originaux. On conseille l'écoute attentive de groupes comme Amnésie, Gratuit ou Niwouinwouin, et enfin le nouveau disque 'La Main invisible' de San Carol. A l'intérieur, on y trouve des morceaux d'une grande variété : une chanson pop efficace comme "Anthill", un titre presque new-wave tel que "Hyppolite et Ripolin", des airs plus violemment électro ("Rouge Colère"), du post-punk (le très bon "Once Upon A Time"), et une réminiscence hypnotique et réussie du générique télé d'"Amicalement Vôtre" ("La Course"). Si vous ajoutez à tout cela une terrible mélancolie qui s'insinue dans les pores de votre esprit ainsi qu'une pochette géniale, vous avez un disque à acheter absolument. Ne serait-ce que pour aider un label qui le mérite.
Garage Landes Depuis le début de leur carrière en 2008, les Inspector Cluzo font tout, absolument tout, eux-mêmes, dans leur baraque landaise. Adeptes d'un rock dit « qui tache », le formidable duo a compris qu'il n'y avait pas grand-chose à attendre d'une France pas rock'n'roll pour un sou, plus intéressée par la french touch électro ou le rap français, alors il s'est lancé dans un premier temps à l'abordage de l'Asie, du Japon et de l'Australie avec dans ses valises un LP éponyme et surtout le génial 'French Bastards'. Après avoir porté leurs racines funk et soul au sommet dans 'The Two Mousquetaires', ils reviennent à un rock plus binaire, terreux et cradingue avec 'Gasconha Rocks', qui porte toujours la marque d'un engagement politique à la fois régional (défense du terroir) et universel (préoccupations écologiques). Fidèle à leurs valeurs donc, mais aussi à leur son, qu'on pourrait définir comme la projection violente de tasseaux. Oui, ça envoie du bois.
Si une bonne partie de la nouvelle scène rock chante en français, on le doit aux excellents Aline, les meilleurs d'entre tous sans doute, qui ont remis au goût du jour une forme de pop bien de chez nous. Bien sûr, l'influence de l'indie-pop anglo-saxonne des années 1980 reste aussi primordiale, comme nous le confiait en interview le guitariste Arnaud Pilard, fan de Johnny Marr des Smiths. Mais l'essentiel réside à notre avis ailleurs, dans cette langue française qui permet de toucher une corde différente chez l'auditeur, d'insuffler un esprit adolescent très particulier, issu de groupes anciens tels que les Dogs, les Fils de Joie, les Désaxés et même Indochine pour ne citer qu'eux. On aime Aline parce qu'ils sont proches de nous, parce que leurs tubes mériteraient de figurer au top 50 de 1987, parce qu'on chante avec eux à tue-tête du début à la fin de ce 'Regarde le ciel' parfait en tous points.
Originaires de Coutances dans la Manche, quasi inconnus au bataillon, les Last Barons viennent tout simplement de sortir l’un des meilleurs albums de l’année.
Ils ont un nom imprononçable et viennent du Portugal. Pourtant, les Wraygunn représentent sans doute ce qui se fait de mieux aujourd’hui en matière de rock’n’roll sexy.
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