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En 2006, Guillaume Barbot trouve sur son chemin le récit de Patrick Declerck, 'Les Naufragés'. Un livre poignant dans lequel il raconte ses consultations psychiatriques auprès de SDF dans un centre d'accueil de Nanterre. Des portraits de clochards comme il en existe peu, le sujet n'ayant pas vraiment la cote. Des histoires que l'on aime à garder loin de soi, dont on ignore tout. « Nous côtoyons des SDF, des clochards pour reprendre la terminologie de Declerck, tous les jours à Paris. Ils sont comme invisibles mais nous les savons là, dans nos rues, dans leurs rues. Et donc je crois les connaître. Je crois savoir. L’essentiel, en tous les cas. Puis je lis Declerck.
Devant un soleil de plomb bientôt voilé, elle se tient debout une hache à la main. Un texte qui tourne en rond et dont on décroche très vite. Une litanie interrompue par un nuage de fumée qui viendra dérober définitivement le moindre rayon de soleil. Puis le plateau se découvre sur décor industriel composé d'échafaudages et de barres de fer. La pénombre envahit rapidement les moindres recoins de cette scénographie post-apocalyptique bientôt habitée par sept comédiens en lutte avec ce géant de métal. Que font-ils au juste dans le brouillard ?
Debout à l’entrée de son chapiteau, Danny Ronaldo invite les spectateurs à… partir. Oubliez les tonitruants « Approchez ! », ici on vous supplie plutôt de ne pas entrer sous le chapiteau, de ne pas vous asseoir. « Toute ma famille est morte. Le cirque est mort. Partez », marmotte-t-il dans un italien farfelu à peine compréhensible. A l’intérieur, la triste affaire semble évidente. Des tombes et des croix habitent la piste couverte de sciure. Le tout à peine éclairé par des guirlandes électriques. La funambule n’est plus, ni le clown blanc et encore moins le directeur du cirque.
Une pièce de théâtre : quatre artistes féminines de talent. 'Un amour impossible' réunit à l'Odéon un quatuor de choix autour du roman de Christine Angot (qu'elle a adapté elle-même pour la scène) : Maria de Medeiros et Bulle Ogier sur scène et Célie Pauthe à la mise en scène. 'Un amour impossible' n'est pas seulement l'histoire d'amour entre Rachel et Pierre, mais c'est par cette fenêtre que le récit s'invite. Elle vient de la campagne, lui de la bourgeoise, mais ils se plaisent et s'aiment, en tout cas pendant un temps. Il ne veut pas l'épouser, il la rejette, l'humilie, refuse de reconnaître leur fille Christine pour ensuite l'abuser sexuellement.
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