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Si l'expérience nous a appris à nous méfier des réécritures, elle nous incite aussi parfois à faire confiance à certains noms. C'est pour cette raison que l'on n'est pas franchement inquiet face à cette « re-création » du film de Fassbinder signée Thomas Ostermeier. Le metteur en scène allemand, codirecteur avec Sasha Waltz du théâtre berlinois Schaubühne, n'a plus à faire ses preuves... Et certainement pas en France, où il s'est vu décerner en 2009 le Prix du meilleur spectacle étranger du Syndicat de la critique pour sa mise en scène de 'John Gabriel Borkman'.
Décidément, l’heure est aux reprises à l’Opéra de Paris. Deux ans après sa création, 'L’Anatomie de la sensation pour Francis Bacon' revient à la Bastille pour clôturer la saison. Cette œuvre très originale de l’anglais Wayne McGregor prend sa source dans les tableaux de Francis Bacon. A la recherche de la plus grande expressivité corporelle, le chorégraphe s’attache à recréer les torsions, les tensions, les fractures et les contradictions des corps humains. Ce travail, initié depuis longtemps, avait déjà trouvé sa résonance dans 'Genus', un spectacle autour des découvertes de Darwin.
Du jeudi 2 au dimanche 5 juillet, direction le Hamac festival pour quatre jours de détente et de fous rires. Un événement qui investira le 9e arrondissement, de République à Pigalle avec un programme animé par de nombreux musiciens et humoristes venus des quatre coins du globe : Angleterre, Belgique, Québec et France. Des organisateurs qui ont pensé à tout, et surtout à la canicule, puisque entre deux spectacles on pourra se délasser au village détente. Bars éphémères, petits coins gourmands, tournois de ping-pong et de pétanque et bien sûr hamacs pour se sentir en vacances même en plein Paris.
« Fabrique d'objets artistiques en tout genre », Gare au Théâtre à Vitry-sur-Seine organise pour la dix-septième année consécutive son festival Nous n'irons pas à Avignon, du 1er au 26 juillet 2015. Au programme, 34 spectacles dont 15 créations. Une belle occasion pour découvrir un lieu atypique, animé par le désir de faire du théâtre ailleurs et autrement. Chaque année, le festival Off d'Avignon soulève toutes sortes de critiques. Trop de spectacles, pas assez de lisibilité, salles à prix prohibitifs... Pourtant, les compagnies continuent de s'y presser.
Depuis 1990, le festival de théâtre Paris Quartier d'été rompt avec l'ennui. Alors que les théâtres ferment leurs portes et que les compagnies s'exilent dans le Vaucluse, le festival dirigé par Patrice Martinet renoue avec le spectacle vivant. Pendant un mois, du 14 juillet au 9 août, plus d'une vingtaine de troupes viendront occuper l'espace public francilien. Un festival parfois gratuit (le 14 juillet par exemple), parfois payant (jusqu'à 26 euros en tarif plein) et qui squatte mille lieux à Paris et alentour.
Après Avignon en 2013, la performance déambulatoire de Stefan Kaegi débarque à Paris, cet été. > Départ devant l'entrée Gambetta du cimetière du Père-Lachaise. Nous avions assisté à 'Remote Avignon', notre avis sur le spectacle : C'est pour l'instant notre plus belle après-midi avignonnaise. Une promenade guidée en groupe de cinquante festivaliers dans les rues pavées de la Cité des papes, de la rue de la Carreterie à la place de l'Horloge. C'est coiffé d'un casque dans le cimetière Saint-Véran que 'Remote Avignon' débute. Une pièce dont vous êtes le héros, du théâtre interactif comme il en existe trop peu dans nos contrées.
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