MAC/VAL
© Time Out
© Time Out

Expositions • MAC/VAL

Les rendez-vous du musée d'Art contemporain du Val-de-Marne

Publicité

Infos pratiques

Voir aussi

  • Art
Art contemporain en banlieue
Art contemporain en banlieue
Ces lieux d'exposition et de création qui fleurissent au-delà du périph' Ceux qui estiment qu'art contemporain (« = fumiste, intello, bobo, parigot ») et banlieue (« = caille-ra, émeutes, inculte, insultes ») sont condamnés à faire mauvais ménage feraient bien de traverser le périph' de temps en temps. En une vingtaine d'années, de la petite ceinture accessible en métro jusqu'aux terminus ô si lointains des lignes de RER, les centres et galeries d'art contemporain ont poussé comme des champignons magnétiques, rivalisant d'audace et de qualité. Résidences d'artistes, espaces d'exposition flambants neufs, monuments historiques réhabilités : c'est ici, entre béton et campagne, que bourgeonnent et s'épanouissent certaines des meilleures adresses d'art contemporain d'Ile-de-France. De quoi bousculer quelques bons vieux a priori... Les incontournables MAC/VAL - Vitry Le musée d’art contemporain du Val-de-Marne ouvre ses portes à Vitry-sur-Seine quelques jours seulement après les émeutes de 2005, à l’heure où la stigmatisation des banlieues est à son comble. Quelques années plus tard, sa réputation n’est plus à faire. Le MAC/VAL, symbole du dynamisme culturel d’une périphérie de plus en plus émancipée de l’emprise parisienne, s’impose comme l'un des meilleurs rendez-vous de la création actuelle... La suite Crédac - Ivry Après avoir résidé au centre Jeanne Hachette pendant près de vingt-cinq ans, le centre d'art contemporain d'Ivry a déménagé en septembre 2011 : direction la manufac
  • Art
Les temples de l'art contemporain
Les temples de l'art contemporain
La Fondation Cartier a posé la première pierre en 1994, en inaugurant son palais de verre et de fer voué à l'art contemporain. Dix-huit ans plus tard, Paris et sa proche banlieue grouillent de nouvelles institutions publiques et privées dédiées à la création actuelle. Après le Palais de Tokyo (2002), la Maison Rouge (2004) ; après le MAC/VAL (2005), le BAL (2006), suivi du 104 (2008). Et enfin est arrivée la Gaîté Lyrique (2011), venue consacrer l'ère numérique. En quelques années seulement, ces sites, ni galeries, ni musées, ont transfiguré le paysage culturel francilien, poussant l'art d'aujourd'hui sur le devant de la scène. Peintures, photographies, sculptures, installations et vidéos brillent derrière ces emballages monumentaux, qui rivalisent d'audace et de prestige. Vouées à ériger des ponts entre la création contemporaine et son public, les nouvelles cathédrales de la culture sont venues rattraper le retard de Paris (par rapport à New York, Londres ou Berlin) en matière de diffusion des arts. Etat des lieux. Pape du mécénat : Fondation Cartier Après avoir résidé près de Versailles pendant dix ans, la Fondation Cartier déménage à Paris en 1994. Le grand mécène d’art contemporain élit domicile boulevard Raspail, dans un bâtiment signé Jean Nouvel : un mastodonte de verre et de fer, érigé sur commande du bijoutier. Bien avant la création du Palais de Tokyo ou de la Maison Rouge, le palais des glaces du joaillier, unique en son genre avec ses 1 200 m2 d’espace d’expositio
Publicité
  • Art
Les meilleures expos
Les meilleures expos
Tatoueurs, tatoués Après avoir orchestré deux expositions à la Halle Saint-Pierre (en 2011 et en 2013), Anne et Julien, fondateurs de la revue HEY! dédiée à l'art « outsider », font entrer le tatouage au musée du quai Branly. En réunissant des vestiges millénaires et des réalisations contemporaines, les commissaires se proposent d'interroger l'évolution du tatouage au fil des siècles, depuis les fonctions mystiques ou sociales qu'il remplissait traditionnellement en Océanie, en Afrique et en Orient, jusqu'à la marque d'identité qu'il est devenu aujourd'hui dans les zones urbaines « occidentalisées »... La suite Avec et sans peinture Puisque choisir, c’est renoncer, au MAC/VAL on fait simple : on ne choisit pas. Ici, pas question de léser un genre pour en privilégier un autre. On prend son art contemporain avec et sans huile, avec et sans couleur, avec et sans abstraction. Parce que l’inverse n’aurait eu aucun sens. Parce qu’au siècle dernier, la photo et le cinéma ont annihilé la peinture sans tout à fait la tuer, et qu’au fond, il ne peut pas y avoir de revenants sans êtres vivants. Bref, parce qu’à une époque où des Gerhard Richter copient des photos pour peindre des toiles pendant que des Bill Viola font de la vidéo pour créer des tableaux, on ne peut pas parler de peinture contemporaine sans mentionner la photographie, le film ou la sculpture. La suite Françoise Huguier Quand Françoise Huguier débarque au Mali en 1982, c’est la panne sèche. Après le Japon grouillant de mo
  • Art
Expos : prochainement
Expos : prochainement
Une sélection d'événements à découvrir dans les semaines et mois à venir Laurent Grasso : Soleil double > Horaires : du mardi au samedi de 11h à 19h. Gilbert & George : Scapegoating Pictures Après y avoir présenté ses 'London Pictures' en 2012, le duo britannique revient à la galerie Thaddaeus Ropac (pour investir, cette fois, son vaste espace de Pantin) avec une toute nouvelle série, 'Scapegoating Pictures'. Encore des collages cinglants mêlant quelques restes de pop art à une critique sociale et politique grinçante. Décidément, avec l'âge, Gilbert voit rouge, George voit noir. Et vice versa. William Eggleston : From Black and White to Color Des charriots entassés sur des parkings de supermarchés. Des Cadillac buvant jusqu’à plus soif à la station service locale. Des briques de lait identiques, serrées les unes contre les autres dans des frigos interminables. Et surtout, des gens. Des gens qui achètent de quoi boire, de quoi manger, de quoi remplir leurs réservoirs d’essence, qui dépensent, qui consomment. Bref, des gens qui vivent le rêve américain. René Burri : Mouvement Grand témoin des mutations du XXe siècle, René Burri a saisi les voitures, les foules, les soldats, les usines ou les artistes qui ont traversé l’après-guerre dans le sillon galopant de la modernité. Longtemps affilié à l’agence Magnum, le photoreporter suisse expose une centaine de clichés à la MEP – une nuée d’images qui témoignent de sa fascination pour le mouvement. Les effets de superposition plus ou
Recommandé
    Vous aimerez aussi
    Vous aimerez aussi
    Publicité