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Lorsqu’on va applaudir un humoriste sur scène, on attend vissé sur sa chaise le moment où à force de rire aux éclats, nos muscles abdominaux nous font souffrir. On essaye de respirer, de se calmer, on étouffe sa voix comme on peut. Un instant de bonheur presque douloureux. Que les spectateurs de la Nouvelle Seine se rassurent, Céline Groussard est experte en la matière. Avec son petit air de copine de classe et sa voix chevrotante, l’humoriste déroule pendant une centaine de minutes un spectacle déconcertant où il est question de lucha libre, de la sexualité des seniors et de rigoles de métro.
La Nuit Blanche 2016 revient le 1er octobre : Morphée peut aller se coucher ! Préparez vos flasques de caféine et vos canettes de taureau rouge : la Nuit Blanche revient à Paris le samedi 1er octobre. Cette année, la quinzième incontournable veillée parisienne – dont le directeur artistique est Jean de Loisy, président du Palais de Tokyo – se profile sous la bannière de l’amour. C’est bien normal après tout, Paris en est la capitale ! Prenant pour fil rouge les pérégrinations passionnées de Poliphile, héros d’un roman du XVIe siècle, le parcours de la Nuit Blanche 2016 invitera les curieux à déambuler dans la Ville Lumière en suivant une « Carte des émotions », longeant les bords de Seine. Notre cœur est déjà emballé.
Vous n’avez JAMAIS vu ça à Paris. Huit artistes de la scène street-art, aux univers et aux médiums différents, réunis dans un appartement à l’abandon et chargés de le redécorer à leur façon. Un peu comme des Valérie Damidot de la bombe et du pinceau, mais plus créatifs. Car, dans ce petit deux-pièces du 6e arrondissement, trois étages au-dessus de la galerie le Loft du 34, le collectif s’en est donné à cœur joie pendant plus de deux mois. Investissant le moindre recoin, faisant sortir leurs installations de la cheminée et dessinant des fresques du sol au plafond comme des enfants à l’imagination débordant tellement qu’elle éclabousse les murs, les graffeurs Astro, dAcRuZ, Maite Sant, Marko 93, Xare, Shaka, Katre et le photographe Nicolas Giquel transforment les lieux en tableau vivant.
Le premier musée du street-art de France débarque le 1er octobre à Paris, au sein de l'école 42. Fresques immenses, messages symboliques, murs d’expression ou expositions, le street-art fait désormais partie du décor urbain et de l’identité de Paris. A partir du 1er octobre, à l’occasion de la Nuit Blanche 2016, c’est cette fois en intérieur, et plus particulièrement entre les murs de l’école d’informatique 42, que le street-art va s’installer, faisant naître un musée insolite et informel.
Les amoureux de petites bulles seront ravis : Georges Remi, dit Hergé, fait l’objet d’une importante rétrospective sous la nef du Grand Palais. Il faut dire que, avec presque 250 millions d’albums vendus à travers le monde et traduits dans une centaine de langues, le papa belge de Tintin, Milou et du capitaine Haddock (pour ne citer qu’eux) a depuis longtemps accédé à la postérité. Certains le considèrent même comme « le père de la bande dessinée européenne ». Alors, à vous d’en juger en admirant ses planches « tintinesques bien » sûr, mais aussi d’autres moins connues telles que ‘Les Aventures de Jo, Zette et Jocko’ ou ‘Popol et Virginie au pays des Lapinos’. Tout un programme !
Du cinéma politique et poétique tout au long de l'année Alors que la rentrée s'annonce déjà éminemment politique, entre les élections américaines de novembre et une campagne présidentielle française qui risque fort d'envoyer son lot de boules puantes, comment ne pas chercher une échappatoire à l'info en flux tendu et aux déclarations à l'emporte-pièce ? Autrement dit, retrouver une parole politique réelle, authentique, ancrée dans le vécu plutôt que dans la médiatisation à outrance d'hommes et de femmes politiques qui évoquent de plus en plus des candidats de télé-réalité...
Si Paris était une boîte crânienne, le lobe de la mémoire serait enfoui dans les méandres historiques de l’hémisphère du Marais. Ou plus précisément, dans la centaine de galeries emplies de réminiscences toutes parisiennes qu'abrite le superbe hôtel Carnavalet, ses jardins et son orangerie. C’est là que sont précieusement conservés les souvenirs turbulents de la capitale, de la Gaule pré-romaine à nos jours. Mais dépêchez-vous de le visiter : le dimanche 2 octobre, le musée fermera ses portes pour rénovations, jusqu'en 2020.
On ne voit parfois, de la fête des vendanges de Montmartre, que la partie immergée de la butte. C’est-à-dire un grand ramdam où la foule se bouscule le samedi pour choper verres de vin et galettes-saucisses. En réalité, cette fête fait palpiter tout le 18e avec de nombreux événements, souvent gratuits, organisés pendant cinq jours.
Après avoir adapté Strindberg et Tchekhov, l’artiste Brésilienne Christiane Jatahy s’attaque à Shakespeare pour une adaptation de l’impitoyable ‘MacBeth’. Un drame contemporain raconté à l’aide d’un important dispositif vidéo, car comme souvent chez Christiane Jatahy le théâtre se nourrit du cinéma et des arts visuels. Une expérience de spectateur-acteur unique sur l’une des pièces les plus cruelles de la littérature anglaise.
Inspiré de la 'Divine Comédie' de Dante, cette pièce sous forme de triptyque interprété par des comédiens américains met en scène trois personnages (une serveuse de bar, un boxeur et un entraîneur véreux) qui discutent ensemble de leurs vies respectives tandis qu’un groupe de rock sur scène rythme leur conversation. Les dialogues se mêlent alors aux mélodies, aussi bien dans le son que dans le propos. La réalité théâtrale et la réalité scénique se brouillent devant les spectateurs et en pleine conscience des personnages qui alimentent la confusion avec la strate du rêve.
Dans le cadre du festival La Grande Echelle, la compagnie La Faux Populaire – Le Mort aux Dents présente son spectacle de cirque dans un petit carrousel où se succèdent musique, jeux, saynètes et acrobaties, le tout avec humour bien évidemment. Leur scène circulaire et rotative leur permet d’être en contact permanent avec l’ensemble du public. Les quatre comédiens enchaînent les numéros créatifs et musicaux, dans un spectacle instrumental et acrobatique mêlant bric-à-brac (bouteilles en verre, avions de papier, cagettes en bois) et instruments maîtrisés avec justesse.
Depuis presque deux ans, Vincent Dedienne est partout. Le jeudi matin, dans le 7/9 de France Inter, son ton guilleret et son rythme effréné retracent avec sensibilité un sujet d’actualité. Le dimanche, dans 'Le Supplément' de Canal +, le comédien se penche sur ses invités avec une « bio interdite » absurde et savoureuse. Désormais, avec son premier « seul en scène », le trublion se met à nu et s’attaque à une histoire qu’il connaît parfaitement. La sienne. Et se mettre à nu, l’homme le fait au sens propre comme au figuré. Avec ses cheveux frisés et son corps de gringalet, il galope sur les planches, s’habille à toute allure, puis enchaîne avec un autoportrait aussi intime que rigolo.
Cette année, l'Arts Factory fête ses 20 ans. Pour l'occasion, elle dédie l'ensemble de ses murs à l’œuvre de l’incontournable figure de l’undergraphisme français, Pierre La Police, et à son univers bien particulier.
Paris en octobre : les températures qui fraîchissent, les feuilles qui jaunissent et les Foires d’art contemporain qui fleurissent. Partout ! De l’Hôtel du Duc, investi par l’Outsider Art Fair, au Carreau du Temple emmené par la Yia Art Fair et bien sûr au Grand Palais, pris d’assaut par la FIAC, chaque mètre carré de la capitale respire la création brut, conceptuelle ou biz’art. La 43e édition de la Foire internationale d'art contemporain demeure d'ailleurs incontournable pour les amateurs, avec son cortège d’artistes de renommée mondiale et ses presque 200 galeries réunies sous l'immense verrière du lieu.
D’un côté, il y a Robyn Orlin, artiste sud-africaine sans limites qui oscille aisément entre le théâtre, l’opéra et les murs d’un musée. De l’autre, Albert Ibokwe Khoza, jeune danseur, chrétien et homosexuel de Johannesburg. Entre les deux, la même volonté d’interroger en permanence les habitants de leur pays sur des sujets résolument politiques. Autant dire que voir les deux travailler ensemble n’est pas très surprenant. Et de politique, ce spectacle en est gorgé. Khoza y interprète une créature à peau bleue parée d’une robe jaune, au milieu de paysages ou de personnages en arrière-plan.
A la recherche d'un film d'épouvante, d'un bon costume ou d'une soirée pour Halloween ? Time Out Paris vous donne ses conseils pour fêter zombies et consorts comme il se doit !
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