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Ce n’est pas un marché, c’est un monde, avec une densité de population et d’objets apparemment inépuisable. Il n’y a d’ailleurs pas un mais douze marchés couverts et cinq rues commerçantes sur les sept hectares que couvrent les puces, chacun ayant sa propre ambiance et identité. Le plus grand, le marché Dauphine, est aussi le plus photogénique et le plus éclectique : un bon point de départ si vous ne savez pas tout à fait ce que vous cherchez. Pour le trouver, mettez-vous en quête de l’immense soucoupe volante orange (la Maison Futuro) sous la verrière de la halle principale. Nous, on aime aussi se promener dans les petites allées bien chargées du marché Vernaison, peut-être le plus authentique de Saint-Ouen, ou entre les librairies anciennes débordantes de pages du Passage. Ouvert du vendredi au lundi et jusqu’à 18h les weekends, prévoyez d’y passer la journée.
Derrière cette petite façade noir charbon, Shinya Inagaki, légende vivante du levain, fait ce qu’il aime : du pain à la française. Formé au Grenier à Pain, avant de faire les beaux jours de la Boulangerie du Nil et de la Fermentation Générale, cet affable Nippon s’est sédentarisé en 2020 dans cette minuscule boutique des Abbesses. Oubliez comptoir design et adresses profilées : on entre dans une échoppe/labo/fournil bordélique, aux horaires d’ouverture contrariants et aux pains éparpillés un peu partout. En soliste de la boulange, Shinya pétrit, cuit, accueille, vend et s’occupe même de la communication sur les réseaux (un compte Instagram avec des post-it listant les pains du jour).
Néanmoins, quand on goûte les productions de ce génie fasciné par le pouvoir de convivialité du pain, on oublie ses bizarreries (et la file d’attente). Ses pains sont racés mais jamais clivants, avec des croûtes délicates, des acidités de levain discrètes qui font ressortir le parfum des céréales torréfiées. La classique miche au khorasan, la Rolls des blés anciens, est un régal qui se boulotte comme un gâteau. Le pain au sésame possède une rassurante densité et la focaccia déborde d’une gourmandise assez coquine. On lui fait confiance aussi sur les quelques à-côtés disséminés dans les rayonnages chaotiques. Le flan est absolument délicieux avec sa pâte feuilletée très torréfiée et le scone, dense et friable, s’impose déjà comme l’i(s)cône des lieux.
Chez Time Out, tous les établissements sont...
Après avoir fait des études de psycho, passé six ans dans une ferme en Loire-Atlantique à élever chèvres et brebis, été directeur adjoint de huit boutiques chez Maison Androuet, Pierre Coulon avait envie d’autre chose. Il part sac à dos pour un tour de France des petits producteurs qui doit durer six mois. Finalement ça devient un tour du monde de deux ans. Et en rentrant, pif paf boum, voici notre jeune trentenaire qui décide de faire du frometon à Paris intra-muros, et lance une cagnotte sur Kiss Kiss Bank Bank. La première fromagerie-crèmerie de la capitale à transformer sur place du lait bio de vache, chèvre, et brebis naît en 2017, à Marcadet-Poissonniers ("je ne voulais pas me retrouver dans un quartier huppé, et vendre des fromages super chers"). C'est petit, mais bien fichu. Une partie boutique, une partie labo. Le lait est collecté en Ile-de-France, parfois en Seine-Maritime, Ille-et-Vilaine, Béarn… "Parce qu’autour de Paris c’est encore beaucoup d’élevage intensif". Cet amoureux de la nature ne fait que du bio, et s’arrange avec ses collègues pour limiter l’impact carbone en mutualisant les livraisons sur la capitale.
Spécialités à ne rater sous aucun prétexte ? Son Saint- Félicien à la crème crue (grosse salivante au moment d'écrire ces lignes). L’Excelsior (le vrai nom d'origine du Brillat-Savarin), concocté dans les règles de l’art, avec triple crème au lait cru (tuerie !)... Et le Myrha, un fromage affiné… à la bière de la Goutte d’Or, brassée à deux pas....
A première vue, l’endroit a tout d’une boulangerie de quartier tradi, si ce n’est qu’ici tous les pains sont réalisés à base de blés anciens. Mais B.O.U.L.O.M. est une « boulangerie où l’on mange »… Et pas qu’un peu ! Il suffit d’avancer le museau pour atterrir dans la caverne d’Ali Baba de Julien Duboué, le Landais déjà à la tête d’A Noste. Pour y entrer, on choisit son pain parmi les miches bio au levain naturel de Matthieu Dalmais, qu’on embarque dans une petite corbeille.
Au milieu de la grande pièce lumineuse trône un buffet gargantuesque, autour duquel sont disposées de longues tablées où installer les copains, sous un plafond végétalisé. Buffet à volonté à 29 € au déj, 39 € au dîner (et brunch à 49 € le week-end). Chacun prend son assiette et picore selon son appétit bulots/mayo maison, terrine de boudin, salade de chou-fleur au kale, butternut crue finement tranchée assaisonnée aux agrumes et à la coriandre ou encore œuf mimosa et tartare au couteau de maboul !
Du côté des plats chauds, des marmites réconfortantes et revigorantes, à l’image des ribs de bœufs ultra-fondantes à accompagner d’une patate douce rôtie au four… Sans oublier le stand des desserts où l’on retrouve tous les classiques du genre : mousse au chocolat décadente, crème brûlée à la pistache goûtue, et profiteroles à monter soi-même. Attention à la crise de boulomie !A noter pour les parents : le prix est de 1,50 € seulement pour les enfants de moins de 14 ans… A multiplier par l’âge du bambin. Ce...
Entre Jules Joffrin et porte de Clignancourt, un temple du vinyle a ouvert ses portes en février 2019, cornaqué par deux Power Rangers de la galette, bien décidés à vous faire écouter des bruits d’animaux entre deux nouveautés électro : le collectionneur Vincent Privat et Xavier Ehretsmann du label et disquaire DDD Records, dont on fouillait un temps les bacs dans les locaux de Club Maté dans le 10e.
Et dans les bacs, alors ? Ça va de l’ethnomusicologie aux délicatesses ambient japonaises à des prix respectables (on sent les esthètes derrière les mails de commande). Sans oublier de la musique expérimentale et concrète, comme chez Souffle Continu. On déniche de la house comme du field recordings, histoire d’écouter des oiseaux d’étang dans votre appart haussmannien aux moulures qui s’émiettent, de dénicher de l’afro-funk et même du french boogie pas encore compilé par le label Born Bad. La variété n'est pas boudée non plus, avec de belles refs pour les francophiles. Dans le registre « bon plan en diamant », Dizonord dégote et revend des collecs de diggers aguerris. Pour vous donner une idée, on a vu un membre du défunt label Institubes (TTC, ça vous parle ?) se délester de dizaines (centaines ?) de skeuds. Propre.
Le vendredi soir, toutes les platines d’écoute sont prises d’assaut et il n’est pas rare qu’un DJ set se mette en place. Les fondateurs du lieu proposent aussi des ateliers pour enfants, des rencontres, du café, des bières pour les adhérents, des fanzines ou des...
Le marché aux puces de Clignancourt a beau être situé à côté de celui de Saint-Ouen, c’est la seule similarité qu’on relèvera entre les deux. D’envergure beaucoup plus restreinte, ce marché n’a de « puces » guère que le nom. Les marchands, du reste fort sympathiques, n’y vendent en général que de la babiole et de la fringue bon marché.
Parmi eux des stands de souvenirs typiquement parisiens (de ceux où l’on peut acheter la plaque d’une vieille réclame ou des tasses à l’effigie du Chat noir), plusieurs vendeurs de chaussures à prix bradés, des t-shirts imprimés, du petit électronique, des disques de rap, soul et r’n’b français, des narguilés, de l’art africain sous forme de masques ou de statuettes… Un stand de sacs en cuir a retenu notre attention : différents modèles et coloris pour ces cartables, sacoches et sacs à main de belle facture. Ici, même son de cloche qu’à Montreuil : une unique buvette pour toute la place du marché.
Fans de rock, de kraut et de zique de Detroit, Nathalie et Catherine ont tenu pendant une dizaine d’années un bar de musique électronique à Montmartre (les Taulières). Mordues de très bon chocolat, elles découvrent le travail en bean to bar (littéralement “de la fève à la tablette”). Kezako ? Quand vous achetez un bonbon de chocolat ou une tablette chez un pâtissier (ou même un chocolatier de renom), il y a de fortes chances pour que le chocolat qui ait servi à le fabriquer provienne d'une grande entreprise… Et n'ait pas été concocté sur place, à partir de fèves fraîchement torréfiées.
Fascinées par cette tendance encore très underground, ces deux nanas passionnantes décident de lancer Kosak en 2014 dans leur fief montmartrois – quartier mythique où des Cosaques s’installèrent en 1814 – en réunissant dans leur microspot aux couleurs pop les meilleures marques du bean to bar. Résultat ? De l'or en barre : les dealeuses de chocolats de grands crus nous régalent avec des produits bien sourcés un peu partout dans le monde. Surtout, elles revendiquent une transparence et traçabilité de A à Z de la chaîne, avec des producteurs vertueux rémunérés à leur juste valeur, et une came superpure : du cacao et sucre uniquement, zéro lécithine, vanille ou émulsifiants.
Parmi nos préférées ? Les tablettes de l’incroyable chocolaterie tchèque Ajala Chocolate, celles du chocolatier vietnamien Marou, ou des Néo-Zélandais de Hogarth. Miam !
Dans l’océan de marques et créateurs qui proposent des pièces actuelles en wax, Maison Château Rouge fait figure d’exception. Youssouf Fofana a grandi à Château rouge (le quartier africain de Paris, pour ceux qui vivraient dans une yourte) ; il lui rend hommage en inscrivant ces sacro-saints tissus imprimés dans la plus grande contemporanéité et y a ouvert sa boutique.
Maison Château Rouge a pris d’un coup. Soudain détonnaient des imprimés vibrants sur bitume badant dans les quartiers les plus branchés de Paris, les jeunes gens dans le vent arborant sur le dos des t-shirts en wax floqués comme les maillots de sport américains. L’engouement pour Maison Château Rouge, encouragé par de nombreux grands magasins de la capitale, n’allait pas s’essouffler, et sa boutique, ouverte en 2016, en est une merveilleuse vitrine.
Rendez-vous au 40 bis de la rue Myrha, en plein cœur de la Goutte d’Or. Multicolore et multiculturel, cet espace de 40 mètres carrés propose toutes les créations de la griffe (hauts, sweats, robes, combis, blousons…), quelques capsules inédites mais aussi une sélection de magazines étrangers et de beaux livres. Sorte de concept store african friendly, c’est une joie d’y dénicher une pièce coup de soleil aussi tendance qu’atypique planquée dans un décor vibrant… et d’y discuter avec l’équipe de Maison Château Rouge, toujours détente.
Si l’on ne devait emporter qu’une pièce : Un top iconique imprimé « hirondelle », symbole de réunification, à 110 €.
Si vous êtes fada de sud et de sucré, vous connaissez sans doute Julien Dugourd, dont les créations virtuoses font baver tout Instagram. Ce natif des Vosges, passé par le Plaza Athénée ou La Chèvre d'Or à Èze-Village, a ouvert à la toute fin 2023 une pâtisserie parisienne avec le moins médiatique Nicolas Crenier, au cœur du 18e arrondissement. Au programme, une boutique d’un blanc immaculé et une offre resserrée de pâtisseries plus que fines.
Hormis le déjà célèbre citron signature – un trompe-l’œil disponible uniquement le samedi – et la tartelette pomme et caramel au dressage à la minutie d’horloger, on trouve aussi une excellente tarte à la vanille, intense et franche, qui cache un caramel épais. Ou ce délicieux paris-brest à la belle crème pralinée ni trop lourde ni trop sucrée, relevé d’une pointe de fève de tonka – mais à la pâte à choux un brin sèche. Et un flan absolument irrésistible, massif et rassurant, au crémeux indéniable où la vanille ne fait pas de la figuration. Attention, si les prix vous rebutent (Montmartre), sachez que le simple croissant au feuilleté aérien vaut à lui seul le déplacement.
Chez Time Out, tous les établissements sont testés anonymement par nos journalistes, en payant l'addition à chaque fois, comme n'importe quel client !
Changement de face pour Balades Sonores ! Classique du vinyle parisien depuis 2012, la boutique a déménagé à l’été 2023 de ses deux planques de l’avenue Trudaine pour un local de 100 mètres carrés situé à deux mètres (de tissu) du marché Saint-Pierre dans le 18e. Une nouvelle balade bien plus spacieuse au milieu d’un stock mastoc de 50 000 disques - pour l’heure majoritairement du neuf - où il y en a autant pour les habitués que pour les novices.
A l’entrée, sur les flancs de la caisse, quatre bacs font office de boussole du shop : « All Favorites » ; « Coups de cœur du moment » ; « Personnes ayant été en showcase » ; « Ce qu’ils emmènent dans leur voiture ». Les vaporeux Spacemen 3 côtoient la post-postiste russe Kate NV tandis que les Beastie Boys font la bise aux étoiles australiennes Jagwar Ma et Nathan Roche. Ensuite, on va se paumer dans ce nouveau dédale où tous les genres ont, à plus ou moins grande échelle, droit à leur moment. Après les nouveautés en premier rideau, la division pop-rock indé internationale, où se côtoient toutes les époques, labels et sous-chapelles, est particulièrement gaulée et classée par ordre alphabétique – on y a vu des disques de Brian Jonestown Massacre, Molly Nilsson, Alex Cameron ou du label Captured Track.En s’enfonçant dans l’échoppe, on tombe sur un rayon BO de films, un pour l’ambient, un pour les musiques électroniques – les bacs jazz et hip-hop ne sont pas en reste ! Isaac Hayes dit bonjour à Varnish La Piscine mais aussi aux...
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