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Pina Bausch était à la danse ce que Picasso fut à la peinture et Giacometti à la sculpture. Un génie. C’est dire si chacun de ses spectacles sont des petits trésors qu’on aimerait revivre sans fin. Assister à ‘Orphée et Eurydice’ (de surcroît à l’Opéra Garnier) a donc tout du privilège. La grâce des danseurs, la fluidité parfaite des costumes et la fragilité intense que la chorégraphe allemande injecte dans ce mythe tragique sont autant d’éléments qui font croire en la magie. Entré au répertoire du ballet de l’Opéra en 2005, l’opéra chanté de Gluck transformé en opéra dansé par la chorégraphe en 1975 noue un dialogue permanent entre le chant et la danse. Lire la suite
Tanger, début des années 2000. Aurélien Bory aperçoit un groupe d’acrobates marocains s’entraîner sur le sable chaud. Emu par leur pratique, il crée avec Sanae El Kamouni le Groupe acrobatique de Tanger et mettent au point ensemble un premier spectacle intitulé ‘Taoub’. Une rencontre entre tradition acrobatique populaire et nouveau cirque. Dix ans plus tard, ils renouent avec la scène et proposent ‘Azimut’. « "Azimut" vient du mot arabe "as-samt" qui signifie chemin, direction, explique le circassien. Dans le même temps, "azimuté" en argot veut dire "fou". » Lire la suite
La dernière du 'Roi Lear' au TNP de Villeurbanne a eu lieu mi-février. Un véritable succès public et critique, dû en grande partie au jeu époustouflant d’un Serge Merlin de 81 ans et pourtant sans âge. Rompu depuis bien longtemps à l’exercice shakespearien, le comédien s’était déjà approprié Lear il y a trente ans. Il connaît sur le bout des doigts les failles et les fragilités du personnage, les pièges et les difficultés du rôle. C’est d’ailleurs de lui que vient la commande de cette pièce auprès de Christian Schiaretti, directeur du TNP depuis 2002 et fervent défenseur du théâtre de répertoire. Le metteur en scène est bien loin d’un énième 'Roi Lear' réduit à la seule folie de la vieillesse. Schiaretti prend véritablement en charge la puissance politique de la pièce et la multiplicité des jeux de pouvoir. La complexité de l’intrigue et des personnages secondaires trouvent un large écho auprès des 25 comédiens qui se partagent un plateau au décor unique. Un spectacle qui se veut haletant de bout en bout. Le Théâtre de la Ville accueillera ce morceau de bravoure en mai prochain. « L’orage continue. »
C’est presque à un conte pour enfants que l'on s’attend lorsqu’on entend le titre 'Aglavaine et Sélysette'. Pourtant, cette pièce de Maeterlinck, d’une grande puissance dramatique, se termine bien en tragédie. Une tragédie symboliste, si on peut dire, écrite à la toute fin du XIXème siècle. Mariés depuis quatre ans, Méléandre et Sélysette vivent dans un château au bord de la mer du Nord. Ils sont très heureux, très amoureux. Méléandre reçoit un jour une lettre d’Aglavaine, femme de son défunt frère, qui, dans une déclaration d’amour, lui demande l’hospitalité. Il y voit alors la possibilité de faire grandir l’amour qu’il a pour sa femme, tout en le partageant. Se constitue alors un étrange trio amoureux où les désirs sont multipliés, échangés. Mais l’équilibre précaire de cette relation triangulaire ne tiendra pas longtemps. Sentant son mari lui échapper, Sélysette, qui voit naître en elle le sentiment de jalousie, finira par se suicider pour céder sa place à la nouvelle venue. L’écriture de cette pièce est naïve, presque enfantine, malgré la poésie qu’elle recèle. On embarque dans les déchirements de ces trois personnages à la sincérité désarmante mais qui courent allègrement vers leur perte. Célie Pauthe, artiste associée au Théâtre de la Colline depuis 2010, explore cette pièce originale et terriblement mélancolique dans l’œuvre de Maeterlinck.
Vous êtes-vous déjà réveillé à l’aube en entendant le chant des oiseaux ? C’est cette ambiance toute particulière que l’Odyssée Ensemble & Cie restitue depuis quelques années avec son spectacle 'Paroles d’oiseaux'. En s’appuyant sur l’œuvre musicale de Messiaen, fervent admirateur de pépiements, la troupe recrée la communauté des oiseaux, avec son langage et ses petits habitats. Munis de simples bouts de bois et d’instruments à vent, les comédiens offrent un univers intimiste et délicat. • Théâtre musical à partir de 3 ans
Le nom de José Montalvo est indissociable de la grande institution Chaillot depuis déjà pas mal d’années. Directeur de la danse puis artiste résident, il offre son savoir-faire, son univers et ses multiples inspirations aux spectateurs du Trocadéro. Et le public en redemande tellement que le spectacle 'Don Quichotte du Trocadéro' nous fait un bis cette saison. Plus qu’un spectacle, c’est un hommage historique au Russe Marius Petipa et à sa chorégraphie de 'Don Quichotte' de 1869. Considéré comme un tournant dans le monde de la danse, ce ballet reste aujourd’hui une référence pour tous les danseurs classiques. José Montalvo en sait quelque chose et c’est avec la culture et les moyens techniques contemporains qu’il réinterprète la tradition. Le chevalier à la triste figure est incarné par Patrice Thibaud qui peut se targuer d’avoir plusieurs épées à son fourreau : Comédien, humoriste, mime, metteur en scène et même auteur, cet homme-orchestre de la scène s’empare avec fougue du célèbre Hidalgo. Loin d’être seul, il est entouré d’une horde de treize danseurs de styles différents. Le héros espagnol se fraie donc un chemin entre battles hip-hop, acrobaties circassiennes et grands jetés classiques. N’oublions pas l’important travail de projections vidéo qui nous transporte en un clin d’œil du métro aux moulins. Appuyé par la lumineuse musique de Léon Minkus, c’est un véritable feu d’artifices décalé et optimiste qui nous est donné à voir.
Quoi de plus difficile que de sensibiliser les enfants à la musique contemporaine sans faire un spectacle rasant ? Il faut de la souplesse, de l’écoute et surtout savoir de quoi on parle sans oublier une bonne dose d’humour. Et c’est bien pour ça que le spectacle musical 'Entre chou et loup' fait mouche. Prenez deux musiciennes habiles, des amies, des sœurs, des acolytes. Tendez-leur les instruments de bataille les plus inoffensifs qui soient (quoique...) : un violoncelle et une flûte. Aidez-les un peu en leur offrant des petites saynètes musicales contemporaines (toutes de compositeurs vivants, s’il vous plaît !). Puis laissez-les divaguer et inventer des histoires à dormir debout. Car si elles sont devant nous pour répéter très sérieusement un spectacle, leurs grains de folie se jouent d’elles et les entraînent vers un monde poétique et surtout un peu timbré. Ce concert détonant s’offre alors à vous avec les objets les plus insolites : des chapeaux-nids et pourquoi pas des lampadaires-porte-manteaux. La musique est emballée dans un très beau paquet cadeau de contes, de petites histoires et de scènes plus clownesques les unes que les autres. La nuit arrive sans crier gare mais sans faire peur aux plus petits. Car entre chou et loup, ce n’est pas vraiment la nuit, il n’y a donc vraiment rien à craindre.
Une troupe franco-tchèque s’empare d’un des contes les plus connus du recueil des Mille et une nuits. Matej Forman et son jumeau Petr, fils du réalisateur Milos Forman pour la petite histoire, créent depuis plus de dix ans de magnifiques spectacles de marionnettes. Empreintes de culture foraine et tzigane, leurs créations bigarrées donnent un souffle d’enthousiasme aux lieux qu’ils traversent. Amoureux du théâtre de rue, ils se plaisent à investir les endroits les plus insolites pour saupoudrer le quotidien d’un peu de magie. Il leur aura fallu deux ans pour faire naître ce projet. De Marseille Provence 2013 (capitale européenne de la culture) à Paris, de la construction des décors aux plus petits détails des finitions. Agnès Sourdillon les rejoint dans cette belle aventure pour jouer les Shéhérazade. En contant, avec sa voix reconnaissable entre toutes, les tribulations d’Aladin, elle prend à partie le public et manipule tout ce beau monde en construisant l’histoire sous nos yeux. Merveilleux, onirisme et humour sont au programme de cette version chantée, colorée et imagée. Un délice pour les yeux et les oreilles des enfants et de tous les autres.
C’est en plein milieu des débats houleux sur la question du genre que Carole Thibaut va présenter son dernier spectacle. La Maison des Métallos accueille ce qui sera la 5e version de « Fantaisies », un spectacle-performance à l’allure de one-woman-show. L’auteure, metteure en scène et comédienne se plaît à disséquer les clichés. 1h15 de théâtre pour tenter de raconter la place et l’image de la femme, peut paraître un challenge insurmontable. Pourtant, nourrie de ses voyages et de ses rencontres, Carole Thibaut nous invite à nous cogner aux barrages sociaux, religieux ou moraux, érigés depuis des siècles. Le tout à travers le spectre de ses propres expériences, non sans humour et avec une sacrée dose de personnalité. Spectateurs allergiques à la propagande féministe agressive, rassurez-vous. Ce théâtre-là s’engage dans une voie beaucoup plus subtile. De quoi parle-t-on vraiment quand on évoque l’idéal féminin ? L’artiste aux multiples facettes, en toute humilité, nous renvoie la question sous forme de multiples saynettes et laisse grandes ouvertes les réponses. La femme et ses représentations au cœur du processus, dans un décor inchangé au fil des épisodes, elle tisse un spectacle en perpétuel mouvement.
En mai, l’Athénée fait ce qu’il lui plaît. Vous entendrez de l’opéra, oui, mais pas à Garnier. Vous verrez 'Le Balcon', oui, mais pas tout à fait de Genet : une œuvre de Peter Eötvös inspirée du dramaturge français. Et le théâtre changera même d’aspect en se transformant en immense maison close pour l’occasion. Du grand foyer jusqu’au bar en passant par les couloirs et les escaliers, c’est le lieu entier qui se travestira pour mieux nous faire participer à la danse des corps. Un esprit de carnaval où la réalité est troublée, les personnages masqués et les mœurs inversées. C’est Madame Irma, la patronne de ce sanctuaire des plaisirs, qui tient tout son beau monde avec poigne et autorité. Dans chaque chambre se trame une histoire peu banale. Evêque, pompier, juge, bourreau, chèvre ou rois de France se rencontrent, se punissent, se séduisent. Dehors, la révolte est prête à éclater, mais nous sommes bien au chaud, dans ce monde qui se suffit à lui-même. A partir de ces situations burlesques se dessine une partition musicale multiple. D’inspirations très hétéroclites, les différents tableaux empruntent aussi bien à la comédie musicale qu’aux classiques francophones. Pour l’Ensemble musical Le Balcon, créé en 2008, il était temps de se frotter à l’œuvre qui avait inspiré son nom. En perpétuelle recherche musicale, cette compagnie artistique propulse le monde de Genet jusqu’à nos oreilles et nous fait vivre une expérience singulière.
Dressé fièrement face au théâtre du Châtelet (et oui, ne vous trompez pas de trottoir !), le théâtre de la Ville est devenu en quelques décennies le temple incontesté de la création chorégraphique. Visionnaire hors-pair, son ancien directeur Gérard Violette y invita dès les années 1980 la crème de la danse contemporaine qu’elle soit allemande (Pina Bausch), flamande (Anne-Teresa de Keersmaeker) ou encore française (Maguy Marin). Si la danse à elle seule fait la réputation du lieu, sa programmation théâtrale ne démérite pourtant pas : Luc Bondy, le Berliner Ensemble ou encore la Nature Theater of Oklahoma y sont attendus en 2012. En 1996, une seconde salle de 400 places ouvre dans le 18e arrondissement, le théâtre des Abbesses y invite de jeunes chorégraphes et petites compagnies de théâtre afin de désengorger la place du Châtelet. Toutefois, il est bien possible qu’il vous faille vous armer de courage pour obtenir un siège hors abonnement (notamment pour le Tanztheater Wuppertal). Mais rassurez-vous, le jeu en vaut définitivement la chandelle.
En arrivant quelques minutes avant le lever du rideau, vous aurez tout le loisir d’admirer depuis le lobby la scintillante Tour Eiffel, voisine du théâtre de Chaillot. Ancien siège de l’ONU, c’est dans la grande salle qu’en 1948 fut signée la Déclaration universelle des droits de l’homme. Jean Vilar, Antoine Vitez et Jérôme Savary feront rejouer des comédiens sur son plateau, rendant les 1 670 places de Chaillot à ses premières amours : le théâtre populaire. Depuis peu presque exclusivement consacré à la danse contemporaine, Chaillot se dessine dorénavant comme le pendant moins international du théâtre de la Ville. Un large espace découpé en deux salles et qui rend hommage à toutes les écritures chorégraphiques, qu’elles soient influencées par le flamenco ou enracinées dans la culture urbaine. Egalement lieu d’apprentissage, le théâtre organise des rencontres, des ateliers et même une formation continue en histoire des arts !
Vous cherchez le théâtre de Gennevilliers ? Suivez les flèches. Imaginés par Daniel Buren, ces panneaux rouges et blancs jalonnent le chemin du métro jusqu’aux portes du bâtiment. Après le règne du fondateur Bernard Sobel, c’est le metteur en scène Pascal Rambert qui tire aujourd’hui les ficelles de ce centre national entièrement dédié à la création contemporaine. Nouvelle identité visuelle, propositions interdisciplinaires et organisation de nombreux festivals : le T2G met le cap sur la rencontre artistique. Amoureux de Molière ou Racine, passez votre chemin, Pascal Rambert ne pioche pas ces auteurs dans le répertoire. En revanche, vous n’y trouverez pas que du théâtre mais également de l’opéra (Oscar Bianchi et Joël Pommerat), de l’art (Nan Goldin), du cinéma, de la littérature et même de la philosophie (Emmanuel Alloa) ! Sachez enfin que certaines répétitions sont ouvertes aux Gennevillois.
A quelques mètres de la plus célèbre avenue parisienne, le Rond-Point met un point d'honneur à ne diffuser que des auteurs vivants : François Bégaudeau, Tatiana Vialle ou encore Jean-Marie Piemme faisaient ainsi partie de la programmation de la saison 2010-2011. Métamorphosé au début des années 2000, le Rond-Point est devenu un lieu multitâches décoré par Patrick Dutertre. Un espace qui s’articule autour d’une abondante librairie, d’un salon de thé et d’un restaurant au cas où la faim se ferait sentir. Ces trois salles baptisées Topor, Tardieu et Renault-Barrault n’accueillent pas seulement du théâtre mais aussi du cirque (Eloize, Le Cirque invisible) et parfois même quelques humoristes satiriques (Guy Bedos, Christophe Alévêque).
Cap à l’Est ! Niché dans une étroite ruelle du 20e arrondissement, le théâtre national de la Colline étonne au premier abord par son imposante façade transparente de 12 mètres de haut. Un décor de béton et de verre qui accueille en son sein un joli échantillon de la dramaturgie, du XIXe siècle à nos jours. Des étoiles de l’écriture dramatique – Norén, Pirandello, Bernhard, Brecht – mise au goût du jour par des ténors de la mise en scène tels que Krystian Lupa, Bernard Sobel ou encore Stanislas Nordey. Aujourd’hui dirigée par le metteur en scène Stéphane Braunschweig, la Colline propose en parallèle de ses spectacles des ateliers, des stages et des week-ends gratuits de formation pour les jeunes passionnés de théâtre.
« Temple absolu du théâtre » selon les termes de son directeur Olivier Py, l’Odéon ne compte pas que son théâtre à l’italienne au centre de Paris mais également un entrepôt de décors de spectacles construit en 1895 par Charles Garnier pour l'Opéra de Paris. Les Ateliers Berthier à l’extrême nord de la capitale sont devenus en mai 2005 la nouvelle salle de l’Odéon, gagnant ainsi près de 400 places. Anciennement sous le joug de la Comédie-Française, l’Odéon s’est affranchi au début des années 1990 en devenant le théâtre de l’Europe. Des metteurs en scène des quatre coins de l’Europe sont invités à présenter leurs productions en langue originale sur-titrée. Parmi eux Deborah Warner, Peter Zadek, Giorgio Strehler, Robert Wilson, Frank Castorf ou encore Thomas Ostermeier.
Il faut d’abord parcourir la ligne 5 du métro puis marcher quelques minutes avant d’arriver à la Maison de la culture de Bobigny. Mais le temps passé dans les transports en commun sera loin d'être perdu, surtout si vous avez choisi d’assister à un spectacle du Standard Idéal. Ce festival inauguré en 2004 invite chaque hiver sur ses planches la fine fleur des metteurs en scène européens. L’occasion de faire le plein de spectacles hongrois, allemands, anglais ou encore italiens. Un écrin de verre dans lequel se tient également l’Atelier des 200. Le temps d’un week-end, 200 amateurs sont invités à découvrir en compagnie des metteurs en scène de la saison l’envers du décor, notamment le jeu d’acteur. Il ne reste plus qu’à vaincre sa timidité et se lancer !
Aux manettes de cette scène conventionnée pour la danse, il y a José Alfarroba. Homme de théâtre actif, qui ne se contente pas d’ouvrir les portes de son lieu aux chorégraphes mais invite jeunes compagnies de théâtre, plasticiens en herbe (huit expositions par saison) et musiciens de tous bords. Spectacles jeune public, projections de films et festivals tous azimuts : le théâtre de Vanves émerveille par la richesse de sa programmation. Découpé en deux salles – le théâtre et la panopée –, le lieu se mobilise tout particulièrement à promouvoir les écritures contemporaines, mais sans frontières : « cette saison seront présentées des tragédies, un mélodrame, une grande fresque historique, des pièces "sociales"... et quelques ovnis » explique son directeur. Un espace de qualité qui accueille en son sein depuis quinze ans l’excellent festival de théâtre et danse Artdanthé. Un must en matière de rendez-vous culturel.
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