Posé à côté de l’immense poêle De Dietrich de 1953 chiné par le taulier Patrice Besse, agent immobilier ascendant esthète, on se réveille tout en douceur dans ce chaleureux café boisé. Dans la tasse, des grains torréfiés par Plural (à Paris) et, dans les assiettes, des sucreries caressantes tricotées du matin par Victoire Pfister, néo-cuistote défroquée : scones (servis tièdes), granola maison, financiers à la poire ou cookies de compétition.
Où ? 2 rue Titon, Paris 11e