Dans ce remake des khaïmas sahariennes – lanternes ajourées, tissus plissés au plafond, zelliges… –, rien n’a vraiment changé depuis l’invention du soleil (environ). La lumineuse taulière Marie-Josée Mimoun, énergique comme un José Garcia sous redbull, continue de sourcer la crème de la crème des produits pour mitonner le meilleur couscous du monde (on exagère à peine) : épices de la maison Thiercelin, agneau de lait des Pyrénées macéré dans de la moutarde et du safran, huile d’olive Profil Grec… Elle fut même une des premières à basculer sa carte des vins en tout nature !
Où ? 13 rue de Crussol, Paris 11e.