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Paris : les meilleurs restaurants japonais en livraison ou à emporter

Notre guide ultime pour jouer des baguettes à la maison !

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Pour éviter de se faire hara-kiri dans un pseudo resto japonais, embarquez dans notre giga dossier où s’entremêlent la crème de la crème des sushis, ramens et autres dingueries nipponnes. Fidèle à ses principes, Time Out Paris a mis un coup de projo sur ces jeunes chef(de)s qui font bouger les lignes, sans pour autant oublier les vieux de la vieille récompensés par le Bibendum. Prêt pour un road trip à la maison ? Rangez votre clic-clac et sortez vos baguettes : on vous sert sur un plateau d’argent les meilleurs japonais de la capitale !

AT Restaurant

Quelle vibe ? Pendant la fermeture contrainte des restaurants, le chef japonais Atsushi Tanaka troque ses menus à rallonges et ses assiettes gastronomiques ultra-graphiques (des céramiques Gurli Elbækgaard) pour vous dépoter une offre chirashi-sushi et sashimi à vous péter la rétine ! Au menu ? Revigorant et coloré Sushi Chirashi (30 €) avec riz vinaigré, thon d’Espagne, œuf de truite, shiitake, carotte, lotus, wasabi et sudachi (un agrume japonais). Mais aussi, pour les fadas de sashimi (25 €), le choix entre trois options : thon rouge, toro (thon gras) et/ou pagre pêché sur un petit bateau… Avant, en clou du spectacle, une merveille de panna cotta au kumquat. A noter pour faire passer le tout, la possibilité de shopper des vins nature d’exception, comme ce Bourgogne Les Bigotes 2018 (40 €) signé Frédéric Cossard.
Mode d’emploi ? Take away et vente à emporter sur le site officiel

  • Bars à vins
  • Saint-Ambroise
  • prix 2 sur 4

Quelle vibe ? Alors qu’il a mis ses vinyles au placard (façon de parler, ils trônent toujours derrière ce magnifique comptoir en béton brossé, entre deux maousse enceintes en bois), Bambino profite du Covid pour affirmer plus que jamais ses influences tokyoïtes. Et propose à la carte des mets comme là-bas. A piocher ? Ce très réussi Tonkatsu Sando (pain de mie japonais shoppé chez Carré Pain de Mie, porc pané, sauce tonkatsu, chou, moutarde)… À grailler avec une salade sauce ponzu, des mini churros et un thé Genmaicha (14 € la formule). Mais aussi une version Tamago Sando -sorte d'omelette japonaise avec œufs durs, mayonnaise, câpres et poivre. Pour les gros morphales, la possibilité d’ajouter 5 pièces de karaage (9 €) : poulet mariné et frit à la japonaise (marinade soja-ail, gingembre, saké), à dipper dans de la mayonnaise maison. Sans oublier, pour ceux qui ne sont pas forcément nippomaniaques (mais alors que faites-vous dans ce dossier ?) l’imbattable sandwich franchouillard au poulet rôti et aïoli, à tremper dans son jus lèche-babines (14 € la formule).

Mode d’emploi : À emporter et en click & collect sur le site de Bambino, tous les jours de midi à 14h30. Egalement sur Uber Eats.

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  • Saint-Germain-des-Prés
  • prix 2 sur 4

Quelle vibe ? On aurait presque envie de se faire hara-kiri pour ne pas être retourné plus tôt chez Blueberry. Car après une livraison (très) remarquée, il n’y a pas à dire : Blueberry trône (désormais) tout en haut de notre eat-parade des meilleures planques japs de Paname ! Sise au cœur de Saint-Germain, cette cool planque à sushis et makis créatifs casse la baraque avec ses délices rose, orange, vert… Des rainbow makis tout sauf conventionnels, répondant à des noms plus loufoques les uns que les autres : convaincants Trublions (sushis, tartare de saumon, grenade et sauce explosive au tobiko) ; subtil et très graphique Transsibérien (crabe des neiges, gambas, pomme, pamplemousse, mayonnaise, avocat, aneth, œufs de samon, nori) ; ou encore mythique Rackam le Rouge (tempuras de gambas, thon mariné, carpaccio de truffe, concombre, sauce épicée, tobiko, nori… notre préféré). Comptez 14-21 € les six, tous testés et approuvés par la Rédac. Également à la carte : crispy ceviche de daurade (14 €) ou addictive "Geisha de la rue du Sabot" : une crêpe croquante fourrée au thon et à la crème de truffe (7 €). Sans oublier les mochis artisanaux (5 € pièce) et cet original tiramisu à la crème de sésame noir (12 €). Côté glouglou, le choix entre de bons vins français (autour de 25 € la quille), deux bières japonaises (7-8 €), et quelques sakés (une vingtaine d’euros la bouteille).
Mode d’emploi ? Commande et click & collect ou livraison dans tout Paris en ligneChoisir le jour et l'heure souhaités. Pour toute commande immédiate, choisir un horaire réaliste selon votre mode de retrait et votre éloignement. Cliquez sur l'option "retirer sur place" ou "livraison". Fermé dimanche et lundi.

Sola

Quelle vibe ? Après avoir englouti des restos en livraison par dizaines depuis un an, un constat s’impose : Sola est sûrement la proposition la plus poussée, la plus aboutie, la plus jusqu’au-boutiste et la plus maligne qu’on ait eu à goûter jusque-là. On le doit à Kosuke Nabeta, géniale toque japonaise qui balance un menu omakase en 5 étapes (60 €), éparpillé sous vide dans une boîte en bois. La suite ? Grâce à un bouquin écrit à la mano, poussant à fond le curseur du pointillisme (lexique japonais à l'appui), vous allez pouvoir gérer les cuissons (en bain-marie) et le dressage (bien aidé par une vidéo en QR code) telle une vraie toque étoilée. C’est ainsi que ce soir-là, on a goûté le graal : graphique maquereau fumé au Sakura, Iri saké et sauce Ume à saucer d’huile de poireaux ; un fondantissime saumon mi-cuit mariné au shiokoji, bien accompagné de gourmands condiments céleri rave, œufs de truites et yuzuponzu ; un très hivernal plats de légumes de mère-grand, crème légère de saikyo-miso et yuzukosho (zeste de yuzu et piment)… Avant, le meilleur pour la faim : un très équilibré gigot d’agneau de lait cuit au charbon, complexe kimpira de choux rouges et purée de betterave. En clou du spectacle ? Un dessert mitonné par la cheffe pâtissière Noémie Traube : un Paris-Tokyo (pâte de sésame, chocolat, praliné, sauce balsamique…) aussi déroutant que réussi. A noter une version végétarienne (40 €) tout aussi convaincante (mon dieu cette assiette de pâte de tofu fumée au bois de Sakura, ankaké et escabèche de shiitake…). Et la possibilité de partir sur un accord mets/ saké (38 €) avec tout un tas d'explications vidéo très pédagogiques - différence entre les saké (tradi, moderne etc.), les provenances, les maisons.. Du génie !
Mode d'emploi : www.restaurant-sola.com

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  • Fusion
  • Pigalle
  • prix 2 sur 4

Quelle vibe ? Sis à Anvers, en face de Mamiche, ce discret mais excellent resto abrite un duo au sommet : Takao Inazawa, chef nippon inspiré (ex-Verre volé), assisté en salle et à la cave de Benoît Simon, ancien du Septime et Chateaubriand. A grailler ? Des petites assiettes dans la veine habituelle, la plupart à tapasser avec les doigts... Idéal pour pimper votre plateau télé de confiné(e) ! Exemple ? Friture de caille et poulet frit (fermier) façon karaage (10 €) ; boulette de poulpe à la béchamel jap’ (8 €)… Mais aussi des plats plus consistants, à mi-chemin entre le bistrot français et l’izakaya (11-16 €). A l’instar de ce couscous d’agneau de Normandie complètement Asie-muté avec sa sauce yuzu kosho (15 €). Big up aussi pour le katsu sando (12 €), sorte de club sandwich nippon au porc pané et frit, coincé dans deux tranches de pain de mie. Pour la soif ? Une bonne vingtaine de bouteilles de pif naturel/biodynamie, toutes impeccablement castées, et à prix caviste (de 13 à 35 €).

Mode d’emploi ? Carte en ligne ici. Commande sur place ou par téléphone, au 01 44 63 75 64 à partir de 14h, du mardi au samedi soir (réservation minimum une heure à l’avance). Retrait à heure fixe : 18h30, 19h30 ou 20h30.

OGATA

Quelle vibe ? En attendant de rouvrir son vaste hall brutaliste façon escape game rétrofuturiste, OGATA — le génial temple dédié à l'art de vivre japonais imaginé par Shinichiro Ogata — débarque à la maison avec l’une des offres les plus convaincantes qu’on ait testé depuis la fermeture des restos. A l’image du menu ORIBEN Nori (30 €), ode à la tradition culinaire nippone, composé de produits de saison tout en couleurs, dressés dans une belle boîte en bois naturel. Pour citer la pléthore d’ingrédients, il convient de prendre sa respiration plusieurs fois : truite saumonée grillée et marinée à la sauce yuan, panais mijotés au soja, légumes marinés au dashi, courge d’Hokkaido mariné à la sauce Nanban, bœuf mijoté au poivre sanshō, tamagoyaki (omelette japonaise), daurade au miso, algue nori… Le tout dans le plus pur respect des produits — bravo ! Pour la glycémie, optez pour une pâtisserie, comme ce fondant Sakura mochi (feuille de cerisier, riz gluant et pâte de haricots rouges à 6 €), tout en lapant un délicieux thé importé du Japon (à partir de 16 € les 50 grammes).
Mode d’emploi ? Livraison via le site internet. La commande se fait maximum la veille (avant 15h) pour le lendemain.

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Onii-San

Quelle vibe ? En plein règne de l’affreux Covid, le duo culotté Arthur Cohen et Olivier Léone décide de lancer sa propre affaire - un stylé izakaya planqué dans l’incontournable rue des Archives... Pas de bol. Mais malgré la fermeture forcée des restos, on est ravi de voir que leur spot traverse la tempête virale avec de fringantes assiettes en livraison, à dévorer avant tout avec les yeux : tout est infiniment coloré, plein de pep’s et particulièrement bien chiadé… Quand côté goût, c’est tout simplement un dé-lire ! Les zigues s’éclatent en terre nipponne sans se faire hara-kiri, à l’image de ce dément Toro Salmon Sashimi Don, soit des sashimis de thon gras et saumon morcelé au scalpel, oeufs de truite, (très bon) riz et fleurs de saison à 24 € ;  mais aussi ces fondantes pièces de makis thon rouge ou thon gras / kampyo, servis ici en version XXL (19 € les 8). Ou encore cet imposant Sando, servi en version poulet pané ET œuf, toppé de mayo japonaise, cresson et dodu pain de mie où on aimerait poser sa tête pour digérer. Le tout est à faire passer avec des bières Kirin. Fin du game !
Mode d'emploi ? C
ommandes ouvertes de 12h à 14h30 et de 19h à 21h30. Vous pouvez aussi précommander votre onii-meal ! Pour la livraison, l'horaire est approximatif et varie d'environ 20 min. www.onii-san.fr

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 1 sur 4

Quelle vibe ? Amis nippophiles, préparez-vous à slurper des merveilleuses nouilles maison à base de blé japonais, parmi les meilleures de Sainte-Anne ! En entrée, un quinté de gyozas au porc à 7 €; du poulet frit torikara (6 €); ou encore onigiri (riz fourré dans une feuille d’algue) au saumon (4 €).. Foulard vissé sur la tête, le samouraï Makoto Saegusa mitonne trois bouillons, du plus clair au plus épais, et du moins au plus salé. On vous demandera de choisir le vôtre : classique (succulentissime bouillon de volaille et de porc dégraissé, pour nous le meilleur, 14 €), shoyu (14 €), ou miso (umamiesque, mais bonjour le sel ! 15 €). Sachant que chacun d’eux peut se décliner en version « spécial », moyennant 2 balles de supplément. A vous le rab de feuille d’algue séchée, d’œuf nitamago (mariné et cuit, bien coulant), et de fines et fondantes tranches de chāshū (porc) ! Nouveau : préparez vous-même votre ramen grâce à leurs kits ! Nouilles à cuire, bouillon, et toppings, il ne vous restera plus qu'à suivre la notice, assembler les différents éléments… et fanfaronner sur Insta en mode "c'est moi qui l'ai fait !”. Pour la touche sucrée ?  Un cheesecake jap’ à la pâte de haricot rouge (5,50 € la part). Bière Kirin (5 € les 25 cl), thé vert bio, froid (4 €).

Mode d’emploi : Ouvert en click & collect via le site du mardi au dimanche inclus, de 11h30 à 15h et de 18h30 à 22h30. Livraison via Uber Eats ou Deliveroo

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  • Japonais
  • Le Marais
  • prix 1 sur 4

Quelle vibe ? Si les très classe Editions de l’Epure viennent de lui consacrer tout un ouvrage en 2021, c’est que le curry japonais est un plat extrêmement important dans la culture nippone. Imaginez un ragoût de bœuf qui mijote durant de longues heures avec une pâte de curry maison dans laquelle on retrouve une vingtaine d’épices, des carottes, des pommes, de la sauce soja et même… un peu de chocolat ! Cette sauce trouble et sirupeuse est servie dans une écuelle en (faux) métal avec du riz rond japonais et, au choix, du bœuf, du porc pané ou du poulet frit. Chez Pontochoux, première cantine du genre à Paname (sise, ça s’invente pas, rue du Pont-aux-Choux !), on se régale. A quelques enjambées de sa délicieuse planque du Marché des Enfants-Rouges, Taeko Inaï a ouvert ce minuscule resto Polly Pocket. Curry au bœuf, au porc pané, poulet frit ou légumes, ils sont tous à 15,90 €. A côté de ça, trois donburi bien réconfortants, et parfaits pour éponger l’apéro express pre-couvre-feu ! Mapo tofu (14,50 €), poulet frit bien crunchy (14,50 €) ou chirachi veggie (15 €).

Mode d’emploi : sur place en take away ou click & collect (18 rue du Pont-aux-Choux dans le 3e) du mardi au dimanche (11h30-19h30). Tél : 09 86 70 77 00. Livraison via Deliveroo.

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 3 sur 4

Quelle vibe ? Depuis 2013, une des meilleures planques à udon de Paris ! Traduire, ces grosses nouilles japonaises que l'on déguste en soupe, chaude ou froide (12-24 €). Des udons mais pas que : quelques sushis (8-14 € la paire), une petite collec’ de donburi, ces grands bols de riz garnis de tout un tas de bonnes choses (20-28 €)… Et puis ces petits luxes : sashimi de toro (thon gras) à 28 € ; assortiment de tempuras (beignets à fine panure, 24 €)… Sans oublier de magnifiques grillades en fonction des arrivages du jour : poisson (30 €) ou bœuf waygu (60 €). De quoi nous faire oublier le seum du couvre-feu !

Mode d’emploi : Ouvert 7/7 en vente à emporter : 11h30- 16h. Commande au préalable par téléphone : 01 47 03 33 65.

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  • Japonais
  • Faubourg Montmartre
  • prix 3 sur 4

Quelle vibe ? Gloire soit rendue au chef Katsuaki Okiyama ! Après son micro-restaurant bistronomico-nippon, la toque japonaise avait lancé cette deuxième adresse pour sobaphiles, les amoureux de ces nouilles au sarrasin qui se dégustent dans un bouillon chaud ou froid ! En ce moment, soba-bye bye ! Place à des bêtes de bentos à 15 balles : au tonkatsu (porc pané), façon karaage (poulet frit), au saumon mariné au miso, ou encore aux gambas panées… Régal !

Mode d’emploi : Click and collect au 01 45 23 51 68, retraits du mardi au samedi midi (12h-14h) au 10 rue Saulnier, 9e

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 4 sur 4
Jin
Jin

Quelle vibe ? Dans son sas de poche, Takuya Watanabe (une étoile au guide du pneu) continue de réciter ses gammes venues tout droit de Niseko (dans le Grand Nord japonais). Pendant la fermeture des restos, le bonhomme — pour ne pas dire le colosse — balance un menu omakase spécial sushi et sashimi à partir de 80 €… De quoi faire chauffer votre CB (tout en décollant votre mâchoire) ! Mais le prix en vaut la chandelle : après avoir dégainé ses lames en mode Kill Jin, Taku enfile sa casquette de maître sushi, mature ses poissons de premier cru (tous en provenance de Bretagne, d’Oléron et d’Espagne), travaille un riz cuit à 37° C et joue de sa dextérité pour assembler et assaisonner le tout. Au programme, selon l’humeur du chef, donc : langue d’oursin, turbot, thon rouge, chinchard, sériole… Tout est précis et fondant, à dévorer avec les mains tout en mâchant le gingembre brun entre deux coups de crocs (voilà pour l’instant tuto). A noter, pour les budgets plus serrés, la possibilité de goûter un curry (plat populaire au Japon), composé de riz blanc, d’un œuf parfait et d’une sauce curry qui change chaque semaine ! Comptez 15 € par personne.

Mode d’emploi : Click and collect avec retrait sur place de 13h à 17h du vendredi au dimanche, ou livraison via Stuart (15 €)

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  • Japonais
  • Louvre
  • prix 2 sur 4
Nodaïwa
Nodaïwa

Quelle vibe ? Vous en connaissez beaucoup à Paris, vous, des restos traditionnels japonais spécialisés dans l’anguille grillée (unagi) ? Nous non plus. Version parisienne de la célèbre maison mère tokyoïte, cet excellent resto zépo à quelques encablures de Palais-Royal, assume son côté monomaniaque. Le staff nippon formé dans la maison mère tokyoïte suit à la lettre la recette ancestrale créée à l’époque d’Edo (1603-1867). Fraîcheur garantie : les anguilles d’eau douce sont réceptionnées vivantes et préparées sur place. Délicatement grillées, ouvertes en deux comme un éventail, elles reposent sur un lit de riz parfaitement cuit. Les menus sont classés en deux grands types (avec ou sans sauce) et tous servis avec un succulent bouillon (suimono), des légumes salés (oshinko) et du radis blanc finement râpé, histoire de s’astiquer la mandibule. Ne passez surtout pas à côté de la version en sauce, laquelle, inchangée depuis cinq générations et jalousement gardée secrète, vaut à elle seule le détour. 

Mode d’emploi : Du lundi au samedi de 11h à 14h15 et 17h à 20h. A emporter ou en click & collect sur www.nodaiwa.com ou par téléphone au 01 42 86 03 42. Livraison en vélo via l’'app @alorsfaim, facturée en fonction du kilométrage (7,50-12,50 €)

  • Japonais
  • Saint-Georges
  • prix 3 sur 4
Momoka
Momoka

Quelle vibe ? Quand un resto reste sans quasi bouger d’un iota pendant dix-sept longues années, il y a une raison. Dans le cas de Momoka, celle-ci se nomme Masayo Hashimoto, cheffe dont le talent n’égale que la gentillesse. Dans sa table d’initiés un peu à l’écart de Pigalle, vers Saint-Georges, cette native d’Osaka fait tout elle-même depuis 2003. Vraie découverte, sa cuisine très personnelle, goûtue, voyage entre Tokyo et Kyoto, avec çà et là des touches françaises. Par ici les bons bentos ! (16-30 €), donburi (15-30 €); udon (15-25 €); sushis et makis... Le clou du spectacle, ce sont les légumes de saison, que Miss Masayo mitonne comme personne : carottes orange et jaunes confites aux algues ; tomates sucrées en salade ; roulés d’aubergine au thon ; champignons eryngii et shimeji sautés, potimarron fondant à la sauce soja et au saké.... De quoi s'enjailler, se laisser surprendre et se régaler. 

Mode d’emploi : commande via By Click Eat. Menus Sakura (39 €) et Momoka (49 €) uniquement dispos via commande téléphonique 24h avant retrait.

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