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Créé en 2002, Jazz à la Villette s'impose comme un festival incontournable, moderne, éclectique et pointu, à l'image de ce que représente le jazz aujourd'hui. Lorsqu’on jette un rapide coup d'œil aux noms qui constituent la 15e édition de Jazz à la Villette, on a envie de faire des bisous au programmateur pour le remercier. Le remercier par exemple d'adoucir l'amère fin d'un été au bord de l'océan ou dans les festivals méditerranéens, juilletistes et aoûtiens. Et pourtant, Jazz à la Villette 2016 donne une furieuse envie de quitter son maillot et de rentrer à la capitale. Bilan en trois points.
Une vraie bombe : certes, le jeu de mots paraît un peu facile pour qualifier le nouveau long métrage de Bertrand Bonello, ‘Nocturama’, mystérieuse histoire de jeunes gens qui font littéralement sauter Paris. Pourtant, l'expression convient à merveille à ce film d’une intensité contemporaine et d’un radicalisme assez inédits. L’insurrection qui vient Après deux envoûtants films en costumes (‘L’Apollonide : Souvenirs de la maison close’ en 2011, ‘Saint Laurent’ en 2014) et un premier rôle devant la caméra dans l’étonnant et autofictionnel ‘Le Dos rouge’ d’Antoine Barraud, Bertrand Bonello revient donc avec cette fiction puissamment plongée dans le Paris – et la France – d’aujourd’hui.
Bertrand Bonello est né en 1968. De là à dire qu’un sang d’émeutier latiniste coulerait dans ses veines, il n’y a donc qu’un pas, qu’on a assez franchement envie de franchir devant son époustouflant ‘Nocturama’ (lire notre critique). Cinéaste du huis-clos virtuose, aux films hantés par l’enfermement – qu’il s’agisse de celui de Mathieu Amalric dans un cercueil pour ‘De la guerre’, de la maison close de ‘L’Apollonide’ ou des protagonistes de ce dernier film, retranchés dans la Samaritaine – autant que par une fascination parfois vertigineuse pour l’expérience des limites, les lignes de crête, l’ambiguïté des corps (‘Tiresias’) comme des états de conscience (‘Saint Laurent’), Bonello pourrait bien, avec ‘Nocturama’, être enfin reconnu par...
Classiques et pépites du cinéma d'animation, à seulement 4 € la séance à travers Paris Jusqu'au 20 septembre, plusieurs salles de cinéma du groupe mk2 proposent, avec les cycles mk2 Junior et mk2 Bout'Chou, un éveil en douceur des plus jeunes à la magie du cinéma d'animation, les matinées des week-ends. Pour les tout petits, les mk2 Nation, Quai de Loire et Bibliothèque présentent ainsi quelques délicieux courts métrages.
Pour accompagner au mieux la nouvelle et quinzième édition de l'incontournable festival Jazz à la Villette, le mk2 Quai de Seine propose, du samedi 3 au dimanche 11 septembre, trois excellents documentaires sur la musique africaine. Le plus récent, 'Finding Fela' (2016) d'Alex Gibney, est un passionnant documentaire sur le créateur de l'afrobeat Fela Kuti et sur son mélange à la fois virtuose et militant de funk, de jazz, de musique nigériane et de rythmes yorubas.
Ciné-club informel, le Food & Film accueille chaque semaine cinéphiles et gourmands dans le studio d’architecture du BUMPlab pour goûter aux plaisirs des images, allié à celui de la dégustation d’expérimentations culinaires, préparées avec soin par Alexandre Rabineau et Stéphanie Mahe dans la vaste cuisine qui se dresse à l’arrière du studio. Décalé, audacieux et en perpétuelle recherche de nouvelles saveurs, tant gustatives que visuelles, le Food & Film teste tout dans un esprit libre et décomplexé, généreux et foisonnant.
Hola chicos, habla español ? Non ? Pas grave, nous non plus. Pas la peine de maîtriser la langue de Don Quichotte pour profiter du pop-up marché mexicain qui se tient ce week-end au Curios Store à Odéon, dans le cadre de l'année du Mexique en France. Organisé par la Chambre économique du Mexique en France (oui ça existe), le marché proposera l'essentiel de la culture gastronomique du pays façon petits plats et épicerie fine.
Est-il encore besoin de présenter L’Etrange Festival, rendez-vous annuel des cinémas mondiaux les plus délirants, détraqués, hypnotiques, bricolés, visionnaires ou pervers (faites vos jeux), toujours précieusement hébergé par le Forum de Images ? Vu que c’est sa vingt-deuxième édition, il y a de quoi en douter… Mais précisons tout de même, au cas où, qu’il s’agit clairement de l’un des temps forts de la rentrée en termes de cinéphilie, cinéphagie et synesthésie – et, en passant, l’un de nos festivals parisiens favoris. Bref, trêve d’assonances en « i ».
Il faut avouer que le projet a de l’envergure : mettre en scène l’un des chefs-d’œuvre de Fédor Dostoïevski, ‘Les Frères Karamazov’, avec onze acteurs filmés en direct sur le plateau et le tout sur plus de 6 heures de spectacle. Le bientôt ex-directeur de la Volksbhüne de Berlin, Frank Castorf n’a peur de rien théâtralement. Et il le montre sans complexe dans cette adaptation épique souvent comparée à un « soap opéra » des ‘Frères Karamazov’. Pour cette version scénographiée par le regretté Bert Neumann, Castorf a tranché le texte, inséré d’autres sources, combiné le travail de la scène à la présence de la vidéo.
Fiction documentaire ou pièce de cirque acrobatique ? ‘TU’ est d’après ses pères – le metteur en scène Olivier Meyrou et l’acrobate Matias Pilet – un peu des deux à la fois. Un spectacle d’une heure cinq né d’une exploration personnelle très intime. ‘TU’ s’écrit ainsi comme le récit poétique et fulgurant de l’impact de la mort in utéro de la sœur jumelle de Matias sur son travail acrobatique. Pour raconter l’expérience de l’inconscient, Olivier Meyrou et Matias Pilet ont imaginé une danse où le corps éprouvé par ses limites dessine des conjectures folles dans l’espace.
A force de se confronter aux monstres sacrés de la littérature, le metteur en scène et comédien Jérémie Le Louët n'a plus peur de rien. Surtout pas d'interroger l'institution théâtrale et le rôle des spectateurs, qui avant de s'installer pour voir sa dernière création se voit distribuer des feuilles sur lesquelles figurent des têtes de moutons. Moutons aux traits naïfs et bienveillants certes, mais moutons néanmoins. Peut-on assister passivement à un 'Don Quichotte' de deux heures, surtout s'il est créé par une compagnie spécialisée dans la confrontation avec les monstres sacrés de la littérature ?
Et pas qu’(un peu) ! Jeunes mères débordées qui jonglez entre le boulot, le bébé et les allers-retours à la crèche, femme enceintes, papas en gestation et autres humains avec appareil reproducteur ce (très bon) spectacle est fait pour vous. Création collective des Filles de Simone, ‘C’est (un peu) compliqué d’être l’origine du monde’ met en scène dans un tourbillon d’accessoires Chloé et Tiphaine aux prises avec la maternité. Ou comment après avoir uriné sur un bout de plastique, tout bascule. Remise en question incessante, sentiment de culpabilité et sandwich au placenta : pas question pour les deux jeunes femmes de nous peindre un tableau idyllique de l’affaire.
Créé en 2002, Jazz à la Villette s'impose comme un festival incontournable, moderne, éclectique et pointu, à l'image de ce que représente le jazz aujourd'hui. Lorsqu’on jette un rapide coup d'œil aux noms qui constituent la 15e édition de Jazz à la Villette, on a envie de faire des bisous au programmateur pour le remercier. Le remercier par exemple d'adoucir l'amère fin d'un été au bord de l'océan ou dans les festivals méditerranéens, juilletistes et aoûtiens. Et pourtant, Jazz à la Villette 2016 donne une furieuse envie de quitter son maillot et de rentrer à la capitale. Bilan en trois points.
Le week-end du 9 au 11 septembre, ce sera le cirque dans les rues du Marais. Ou plutôt le carnaval puisque tel est le thème du festival culturel 'Les Traversées du Marais', qui revient pour une deuxième année consécutive. Initié par le réseau Marais Culture +, ce projet artistique de grande ampleur fédère, au moment de la rentrée, le plus bouillonnant des quartiers parisiens sur le plan du patrimoine. Gratuit, il permet à tous les publics d'aller à la rencontre d'une vingtaine d'institutions muséales dans le but d'assister à des événements culturels hétéroclites : bals masqués, concerts lyriques, performances et spectacles de rue ou encore ateliers pratiques...
La rentrée est souvent l’occasion de déménagements, de redécoration de son intérieur… Bref, de changements dans l’habitat. Et cela tombe bien puisque la rentrée c’est aussi le moment où se tient la Paris Design Week. Extension du salon MAISON & OBJET, cette foire investit 180 lieux de la capitale dans le but de promouvoir, auprès du public, l’avant-garde de la création contemporaine française et internationale en matière de design. A la fois dénicheur de talents et jeu de piste grandeur nature dans la ville, la sixième édition de la Paris Design Week met toutefois l’accent sur d’autres domaines que l’ameublement : l’art décoratif et la gastronomie font également partie de ce festival placé sous le signe de l’art de vivre chez soi.
Pour accompagner au mieux la nouvelle et quinzième édition de l'incontournable festival Jazz à la Villette, le mk2 Quai de Seine propose, du samedi 3 au dimanche 11 septembre, trois excellents documentaires sur la musique africaine. Le plus récent, 'Finding Fela' (2016) d'Alex Gibney, est un passionnant documentaire sur le créateur de l'afrobeat Fela Kuti et sur son mélange à la fois virtuose et militant de funk, de jazz, de musique nigériane et de rythmes yorubas.
La rentrée approche à pas de géant ! Et si pour certains elle est synonyme de dépression chronique, n'oublions pas que pour les sorties culturelles, c'est certainement l'une des plus belles périodes de l'année. Les salles de concert rouvrent, avec pour la plupart une myriade de belles dates, et de nouveaux festivals de musique naissent. C'est le cas du Smmmile à La Villette les 16, 17 et 18 septembre, qui se décrit comme un « vegan pop festival ». Bon, alors comme ça, ça fait un peu peur. On imaginerait presque des carottes faire des pogos au milieu des stands anti-viande.
Les événements qui célèbrent les cultures queer et LGBT ne sont pas légion à Paris. Pourtant, ils sont précieux et essentiels et pas seulement pour les communautés auxquelles ils offrent un porte-voix. Rares et souvent peu soutenus, les festivals qui mettent en avant les sexualités queer et les artistes qui gravitent autour de ces questions (la représentation des corps, les questions d'identités) s'éteignent peu à peu. Le paysage culturel parisien, et plus généralement francilien, reste encore très hétéro-normé. Les preuves d'une scène pétillante et pleine de promesses ne sont pourtant plus à faire.
Ils sont déjà sur le plateau lorsque le public entre dans la salle. Pompes, étirements, squats, les deux acrobates s'échauffent les muscles, se préparent les tendons. Le spectacle n'a pas encore commencé que la sueur perle déjà sur leur corps taillé dans le bronze. Sur de la musique latino à haut volume sonore, ils dessinent dans les airs des mouvements de lutte, s'essuient le torse, se tournent autour. En espagnol, « poyo rojo » signifie « coq rouge », et sur scène ce sont bien deux mâles fiers comme des gallinacées qui s'affrontent. Une bataille sans armes mais à coups de hanche, entre ciel et terre.
C'est un soir un peu particulier à Avignon. Alors que les supporters s'amassent devant des écrans géants et des pintes bien fraîches, Patrick Chanfray entre. Le jeune homme étranglé par un nœud papillon grimpe sur la scène avec un sourire immense. Il faut dire que l'affaire n'est pas banale, première du festival et équipe de France en demi-finale, dans la salle du Palace, on ne compte qu'une poignée de spectateurs. Maître de la situation, le sourire toujours collé au visage, il en profite pour échanger quelques vannes, claquer la bise et retenir les prénoms de son public à taille réduite.
Chaque année, le temps d'un week-end (les 17 et 18 septembre), les monuments les plus ronflants de notre chère et tendre capitale ouvrent leurs portes au public. Et votre tante Adeline, qui a toujours rêvé d'entrer chez monsieur le Président, s'en réjouit. Mais tout, en ces Journées du Patrimoine, ne respire pas la poussière et la naphtaline. Si vous êtes allergique à l'Histoire et au vernis d'antiquaire, rassurez-vous : au-delà des traditionnelles visites d'églises ou d'hôtels particuliers, notre patrimoine architectural, artistique et naturel nous réserve encore quelques belles (et nouvelles) surprises.
Est-il encore besoin de présenter L’Etrange Festival, rendez-vous annuel des cinémas mondiaux les plus délirants, détraqués, hypnotiques, bricolés, visionnaires ou pervers (faites vos jeux), toujours précieusement hébergé par le Forum de Images ? Vu que c’est sa vingt-deuxième édition, il y a de quoi en douter… Mais précisons tout de même, au cas où, qu’il s’agit clairement de l’un des temps forts de la rentrée en termes de cinéphilie, cinéphagie et synesthésie – et, en passant, l’un de nos festivals parisiens favoris. Bref, trêve d’assonances en « i ».
Le musée Maillol, fermé depuis septembre 2015, réouvrira ses portes le 14 septembre prochain avec une exposition rétrospective sur l’artiste Ben. Celui-ci investira les salles restaurées de son écriture enfantine (malgré ses 80 ans au compteur) et de ses slogans accrocheurs. Intitulée ‘Tout est art ?’, l’exposition sera la première rétrospective d’envergure sur l’artiste et se veut un étendard de la nouvelle politique du musée axée sur la promotion de l’art moderne et contemporain. L’exposition proposera de découvrir d'une autre manière l’artiste qui orne 80 % des agendas scolaires français, à travers des installations, des sculptures et autres photographies qu’on lui connaît moins.
De la visite des commerces de la Goutte d’Or à la Fête du Canard : des événements partout dans Paris pendant trois jours, du 23 au 25 septembre. Pour sa 6e édition, la Fête de la Gastronomie initiée il y a six ans par le ministère de l’Economie met en avant la « cuisine populaire ».
En marge du Whisky Live a lieu la Cocktail Street, soit une rue éphémère de 130 mètres de long installée au rez-de-chaussé de la Cité de la mode, avec son marché et ses bars, le tout en partenariat avec le Food Market. Vous allez ainsi pouvoir déguster les cocktails à base de gin du Tiger ou de saké de la Maison du Saké, accompagnés de la bonne barbaque de The Beast, des plats nippons de Peco Peco, des burgers du Réfectoire ou des pasteis de nata de la Pastelaria Belém.
L'an dernier pendant un mois, et après des villes comme Tokyo, Melbourne, Berlin ou Rome, la Red Bull Music Academy avait choisi Paris pour installer son plus gros événement annuel à travers le monde, événement qui donne la possibilité aux jeunes talents d’échanger et de collaborer avec des artistes reconnus. Et à la rentrée, l'institution musicale décide de revenir sur la scène parisienne avec un nouveau festival en poche. Pendant six jours, dès le 19 septembre, concerts, soirées, expositions et conférences viendront animer la ville, avec bien évidemment une programmation établie au millimètre.
En 2015, le Whisky Live, plus grand salon européen consacré aux spiritueux, a fait peau neuve en investissant la Cité de la mode et du design. Un pari réussi, visant notamment à rajeunir l’image d’un alcool qui évoque parfois le cendrier en cuir poussiéreux, le cigare à 200 € et la garçonnière garnie de fauteuils club. Que vous soyez novice en la matière ou amateur éclairé, voici un petit guide de survie en 5 points qui pourrait bien vous servir durant ces deux jours de réjouissances spiritueuses.
Avec ses chaussures à bouts pointus, sa natte, son pantalon à taille haute et son torse nu qu'il exhibe depuis plus de dix ans dans son spectacle 'Secret', Johann Le Guillerm s'est forgé dans le milieu du cirque un personnage d'aventurier solitaire. Une réputation de chercheur génial et fantasque à la Don Quichotte. Contre l'injonction des institutions à sans cesse produire du neuf, l'artiste n'a eu de cesse que de développer un seul et même projet en quatre parties intitulé 'Attraction', dont 'Secret' est le volet circassien. Dernières métamorphoses Alors qu'au terme de la dernière édition du festival
Saviez-vous que Charles Baudelaire, en plus d’être un virtuose de la poésie à l’origine du ‘Spleen’ et des ‘Fleurs du mal’, était aussi critique d’art ? Si ce n’est pas le cas, courez d’urgence au musée de la Vie romantique. A l’occasion du cent cinquantenaire de la mort du poète, il consacre une exposition aux curiosités esthétiques laissées par ce prodige des mots. Un dialogue entre ses analyses et les œuvres d’art – signées Delacroix, Ingres ou le Douanier Rousseau - que Baudelaire a commentées, offrant au visiteur l’opportunité de découvrir un nouvel aspect de son génie littéraire. Mais aussi et surtout de sa sensibilité exacerbée.
Quand on sait que la dernière rétrospective consacrée à René Magritte au Centre Pompidou date de 1979, on comprend que l'exposition 'René Magritte, la trahison des images', qui se tiendra à Beaubourg du 21 septembre 2016 au 23 janvier 2017, sera un événement. Si ce n'est l'exposition la plus attendue de 2016. Si celle présentée il y a trente-six ans avait rassemblé 206 œuvres, peintures, dessins et objets du célèbre peintre surréaliste belge, on ne sait combien de chefs-d'œuvre celle de cette année donnera à voir au public. La seule information ayant, pour le moment, filtré est que l'exposition 'René Magritte, la trahison des images' sera thématique et axée autour des cinq « figures » références de l'artiste : le feu, l'ombre, les rideaux, les mots et le corps fractionné.
Lorsqu’on va applaudir un humoriste sur scène, on attend vissé sur sa chaise le moment où à force de rire aux éclats, nos muscles abdominaux nous font souffrir. On essaye de respirer, de se calmer, on étouffe sa voix comme on peut. Un instant de bonheur presque douloureux. Que les spectateurs de la Nouvelle Seine se rassurent, Céline Groussard est experte en la matière. Avec son petit air de copine de classe et sa voix chevrotante, l’humoriste déroule pendant une centaine de minutes un spectacle déconcertant où il est question de lucha libre, de la sexualité des seniors et de rigoles de métro.
La Nuit Blanche 2016 revient le 1er octobre : Morphée peut aller se coucher ! Préparez vos flasques de caféine et vos canettes de taureau rouge : la Nuit Blanche revient à Paris le samedi 1er octobre. Cette année, la quinzième incontournable veillée parisienne – dont le directeur artistique est Jean de Loisy, président du Palais de Tokyo – se profile sous la bannière de l’amour. C’est bien normal après tout, Paris en est la capitale ! Prenant pour fil rouge les pérégrinations passionnées de Poliphile, héros d’un roman du XVIe siècle, le parcours de la Nuit Blanche 2016 invitera les curieux à déambuler dans la Ville Lumière en suivant une « Carte des émotions », longeant les bords de Seine. Notre cœur est déjà emballé.
Vous n’avez JAMAIS vu ça à Paris. Huit artistes de la scène street-art, aux univers et aux médiums différents, réunis dans un appartement à l’abandon et chargés de le redécorer à leur façon. Un peu comme des Valérie Damidot de la bombe et du pinceau, mais plus créatifs. Car, dans ce petit deux-pièces du 6e arrondissement, trois étages au-dessus de la galerie le Loft du 34, le collectif s’en est donné à cœur joie pendant plus de deux mois. Investissant le moindre recoin, faisant sortir leurs installations de la cheminée et dessinant des fresques du sol au plafond comme des enfants à l’imagination débordant tellement qu’elle éclabousse les murs, les graffeurs Astro, dAcRuZ, Maite Sant, Marko 93, Xare, Shaka, Katre et le photographe Nicolas Giquel transforment les lieux en tableau vivant.
Le premier musée du street-art de France débarque le 1er octobre à Paris, au sein de l'école 42. Fresques immenses, messages symboliques, murs d’expression ou expositions, le street-art fait désormais partie du décor urbain et de l’identité de Paris. A partir du 1er octobre, à l’occasion de la Nuit Blanche 2016, c’est cette fois en intérieur, et plus particulièrement entre les murs de l’école d’informatique 42, que le street-art va s’installer, faisant naître un musée insolite et informel.
Les amoureux de petites bulles seront ravis : Georges Remi, dit Hergé, fait l’objet d’une importante rétrospective sous la nef du Grand Palais. Il faut dire que, avec presque 250 millions d’albums vendus à travers le monde et traduits dans une centaine de langues, le papa belge de Tintin, Milou et du capitaine Haddock (pour ne citer qu’eux) a depuis longtemps accédé à la postérité. Certains le considèrent même comme « le père de la bande dessinée européenne ». Alors, à vous d’en juger en admirant ses planches « tintinesques bien » sûr, mais aussi d’autres moins connues telles que ‘Les Aventures de Jo, Zette et Jocko’ ou ‘Popol et Virginie au pays des Lapinos’. Tout un programme !
Du cinéma politique et poétique tout au long de l'année Alors que la rentrée s'annonce déjà éminemment politique, entre les élections américaines de novembre et une campagne présidentielle française qui risque fort d'envoyer son lot de boules puantes, comment ne pas chercher une échappatoire à l'info en flux tendu et aux déclarations à l'emporte-pièce ? Autrement dit, retrouver une parole politique réelle, authentique, ancrée dans le vécu plutôt que dans la médiatisation à outrance d'hommes et de femmes politiques qui évoquent de plus en plus des candidats de télé-réalité...
Si Paris était une boîte crânienne, le lobe de la mémoire serait enfoui dans les méandres historiques de l’hémisphère du Marais. Ou plus précisément, dans la centaine de galeries emplies de réminiscences toutes parisiennes qu'abrite le superbe hôtel Carnavalet, ses jardins et son orangerie. C’est là que sont précieusement conservés les souvenirs turbulents de la capitale, de la Gaule pré-romaine à nos jours. Mais dépêchez-vous de le visiter : le dimanche 2 octobre, le musée fermera ses portes pour rénovations, jusqu'en 2020.
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