Pablo Picasso, 1923
Lorsqu'il peint cet arlequin en 1923, Picasso est déjà une superstar du monde de l'art. Depuis l'Armistice, ses toiles font le tour des grandes expositions de la capitale - accrochées, parfois, auprès des maîtres de l'avant-guerre (Matisse, Derain), associées, d'autres fois, à l'Esprit Nouveau, au cubisme ou à l'émergente Ecole de Paris. La suite
Marcel Duchamp, 1917
En s'affranchissant de l'ensemble des conventions et valeurs admises jusqu'à lui, l'ex-Dada pince-sans-rire a réussi à plonger le milieu de l'art dans une aporie que ses multiples - et paresseux - suiveurs (Hirst, Koons et leurs comparses) ne sont pas près de résoudre. La suite
Otto Dix, 1926
En choisissant de peindre le portrait d'une femme émancipée qui picole et fume seule à une terrasse de café, le monocle vissé à l'œil, Otto Dix se penche sur la nouvelle société de l'entre-deux-guerres au cœur d'un Berlin moderne. La suite
Yves Klein, 1962
Yves Klein disait de la monochromie que c'était la « seule manière physique de peindre permettant d'atteindre à l'absolu spirituel ». Le monde, il aurait voulu l'enduire de bleu. Du bleu Yves Klein, ce fameux « IKB » (International Klein Blue) électrique et profond. La suite
Giorgio de Chirico, c. 1918
Des décors géométriques aux perspectives décuplées, soulignés par des ombres inquiétantes. Des personnages incomplets, mannequins de bois, figures livides, aux airs de sculptures glacées. Giorgio De Chirico (1888-1978) façonne un univers insaisissable, métaphysique, aux lignes évidentes mais à la signification obscure. La suite
Niki de Saint Phalle & Jean Tinguely, 1983
Dans la continuité d'un Centre Pompidou pétulant et coloré, planté comme une incongruité au milieu de l'un des plus vieux quartiers de Paris, la fontaine Stravinsky est l'autre touche de fantaisie de Beaubourg. La suite
A lire aussi :
Discover Time Out original video