Centre Pompidou • Les incontournables

Le meilleur des collections permanentes

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Arlequin
Arlequin

Pablo Picasso, 1923
Lorsqu'il peint cet arlequin en 1923, Picasso est déjà une superstar du monde de l'art. Depuis l'Armistice, ses toiles font le tour des grandes expositions de la capitale - accrochées, parfois, auprès des maîtres de l'avant-guerre (Matisse, Derain), associées, d'autres fois, à l'Esprit Nouveau, au cubisme ou à l'émergente Ecole de Paris. La suite

  • Musées

Marcel Duchamp, 1917
En s'affranchissant de l'ensemble des conventions et valeurs admises jusqu'à lui, l'ex-Dada pince-sans-rire a réussi à plonger le milieu de l'art dans une aporie que ses multiples - et paresseux -  suiveurs (Hirst, Koons et leurs comparses) ne sont pas près de résoudre. La suite

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Giorgio de Chirico, c. 1918
Des décors géométriques aux perspectives décuplées, soulignés par des ombres inquiétantes. Des personnages incomplets, mannequins de bois, figures livides, aux airs de sculptures glacées. Giorgio De Chirico (1888-1978) façonne un univers insaisissable, métaphysique, aux lignes évidentes mais à la signification obscure. La suite

  • Musées

Niki de Saint Phalle & Jean Tinguely, 1983
Dans la continuité d'un Centre Pompidou pétulant et coloré, planté comme une incongruité au milieu de l'un des plus vieux quartiers de Paris, la fontaine Stravinsky est l'autre touche de fantaisie de Beaubourg. La suite

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