Kodawari
© Guillaume Blot pour Time Out Paris
© Guillaume Blot pour Time Out Paris

Les meilleurs restaurants japonais de Paris

Non, la gastronomie nipponne ne se réduit pas aux éternels sushis, sashimis et makis. Voici où jouer des baguettes à Paris !

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En quelques années, l’offre de la cuisine japonaise s’est développée comme le tour de taille d’un élève sumo. Des sushis bien sûr, mais aussi des ramens fumants, des gyozas, du poulet karaage, des bentos nappés de tonkatsu, des menus omakase… Jamais les échanges culinaires entre la France et le Japon n’ont été aussi intenses ! Il y en a pour tous les budgets : de l’adresse de rupin jusqu’à la pause déj pour salaryman pressé, découvrez notre guide ultime des meilleurs restaurants japonais de Paris mettant à l'honneur tous les visages de cette gastronomie singulière et délicate. Et comme on dit là-bas : Itadakimasu ! (Bon appétit !)

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Les meilleurs restaurants japonais de Paris

  • Japonais
  • Louvre
  • prix 4 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Au rez-de-chaussée du palace Cheval Blanc, dans un cocon boisé calme comme un temple shaolin, Arnaud Donckele et Maxime Frédéric se frottent aux nipponités de Takuya Watanabe. Le résultat ? Une incroyable épopée iodée en 17 étapes où les plats s’assemblent devant nous dans une chorégraphie millimétrée. Des sushis au sommet du game parisien sont escortés de bouillons, accords et desserts élaborés par les deux chefs français. Hakuba vole très haut.

Où ? 8 quai du Louvre, Paris 1er

  • Japonais
  • Saint-Germain-des-Prés
  • prix 3 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Un comptoir de marbre dans une salle inox où Takuya Watanabe, maître sushi à l'origine de l’inoubliable Jin, propose des handrolls, ces makis XXL, qui plient la concurrence. Si l'on n’était pas déjà debout pour manger, on se lèverait pour applaudir ces produits en or : grains nacrés de riz tiède, soja maison et surtout du poisson de première bourre ciselé, tel le thon rouge bluefin ou le maigre de ligne. Parmi les signatures, c'est le Kaïto maki, sirène deux thons (ventrèche et akumi, thon rouge taillé à la verticale), courge marinée, shiso et sésame, qui remporte le titre de Monsieur bien roulé ! 

Où ? 71 rue de Seine, Paris 6e.

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  • Japonais
  • Chaussée-d'Antin
  • prix 4 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Vers la Madeleine, Chiho Murata et Ignasi Elias ont ouvert le premier barbecue japonais qui propose des wagyus d’exception. On jette soi-même sur le grill des tranches millimétriques de bœuf de Kobe ou de bœuf Matsusaka, encore plus persillé et jusque-là inédit en Europe. Inutile de mâcher, tout fond sur la langue ! Chez Marie Akaneya, on apprend que la viande peut être une sensation plus qu’une matière ! Une expérience carnivore singulière.

Où ? 12 rue Godot-de-Mauroy, 75009

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Derrière le comptoir inox, en capitaine de marmites fumantes, Keiko Matsui (Togo de son nom de jeune fille) envoie ses bols d’or de sobas so bonnes, chaudes ou froides, aux recettes pas vues partout : pâtes au radis blanc râpé et porc pané ; igname et œuf ; aubergines frites et prune salée… Pour un resto de ramen, les entrées sont loin de faire de la figuration. Les aubergines frites marinées dans un délicat dashi fondent délicieusement sous la langue. Et on était à deux doigts d’intercepter l’assiette de sushis de maquereau, riz heshiko et radis qui nous est passée sous le nez.

Où ? 33 rue Saint-Roch, Paris 1er.

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  • Japonais
  • Saint-Ambroise
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

On avait bien aimé la première adresse de Sho Miyashita et Jérémy Mégaly, un izakaya un peu déglingue qui faisait le grand écart entre bouffe de rue et recettes plus chiadées. Pour leur nouveau resto, ils continuent leur greffe de la junk food nippone en France mais ne proposent cette fois que du 100% friture. A la carte : tonkatsu (porc pané), karaage (poulet frit) et tempura de daurade servis dans un bol (donburi) ou pas. Il y a évidemment un mot japonais pour ça : l’agemono.

Où ? 60 bd Voltaire, Paris 11e.

  • Japonais
  • Grenelle
  • prix 4 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Le chef Akiyoshi Yuichiro, débarqué de Fukuoka, vous fait découvrir le chakaiseki. Il s’agit d’une succession extrêmement codifiée d’assiettes qui aboutissent à la dégustation du thé au matcha préparé selon la méthode traditionnelle. Comme dans le kaiseki, le repas gastronomique, le chef, qui travaille devant son public avec des gestes d’horloger, doit varier les cuissons, les ingrédients et la vaisselle à chaque étape. Un moment de grâce, un incroyable voyage immobile (et silencieux) inédit en France mais facturé au prix fort.

Où ? 59 rue Letellier, Paris 15e.

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  • Japonais
  • Abbesses
  • prix 4 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Suite au tragique décès de son créateur Shunei Kimura en juin 2022, cette adresse au design nordique reprend du service sous l’égide de Chizuko Kimura, sa veuve, et de la fine lame Takeshi Morooka. Celui-ci, dans un silence de cathédrale, délivre de graciles merveilles, à prix fort : makis de thon et radis à la sauce ponzu, morceaux de bonite marinés dans une sauce sucrée-salée à la texture magistrale, sashimis de sériole… On admire la dextérité et la précision chirurgicale employées pour envoyer les neuf nigiris : sériole, maquereau, crevette crue, thon, thon gras, anguille, saumon mariné…

Où ? 3 rue Audran, Paris 18e.

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 1 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Une façade large comme un homme et une carte qui tient sur un verso d’A4 mais une immense adresse pour les amateurs de ramens, où le chef Makoto Saegusa délivre un bouillon d’anthologie. Cette dinguerie épaisse presque crémeuse, sapide et réconfortante qu’on boit jusqu’à la dernière goutte s’accompagne de splendides nouilles fabriquées du matin. A noter que la version végétarienne se montre tout aussi excellente.

Où ? 41 rue Sainte-Anne, Paris 1er.

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  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 4 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Après Udon Bistro, Stand Tora et Onigiri Bar, Masafumi Nomoto continue son ascension de la rue Villedo à l’enseigne de ce Charbon hardi et ardent. Dans la salle, un savant mélange de bistrot 1900 (miroirs piqués, moulures et crédence faïencée) et d’izakaya moderne. Et dans l’assiette, les fulgurances de l’omakase du chef Masa qui casse la barbaque avec des yakitoris léchés par les flammes comme cette cuisse de poulet fermier juteuse abritant un cube de céleri-rave et truffe blanche ou ces boulettes de volaille, poudre de poivre vert et jaune d’œuf confit…

Où ? 5 rue Villedo, Paris 1er.

  • Japonais
  • Opéra
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Quand il n’est pas sur Insta à expliquer au commun des mortels comment servir le saké ou prendre ses baguettes, Go Sato, aidé par sa mère, propose dans son izakaya une bombe de poulet karaage, une escalope Label rouge craquante, juteuse et iodée par des algues nori. Une expérience avantageusement complétée par un verre de saké brassé par Ninki-ichi (14 €), plus frais et floral qu’un pique-nique sous un sakura.

Où ? 4 rue de Port-Mahon, Paris 2e.

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  • Japonais
  • Folie-Méricourt
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé


Sho Miyashita et son comparse Jérémy Mégaly dépotent avec cet izakaya décomplexé aux murs grattés, banquettes en skaï et hip-hop à balle. Au menu, un mélange qui déménage de japonités nerveuses et de junk food désinhibée comme l’okonomiyaki, l’omelette japonaise lestée de chou blanc, poireau, mayo et sauce bulldog ou l’aile de raie vapeur à émietter et plonger dans une sauce ponzu au chili oil ou kiffant tonkatsu pané aux Doritos. A faire couler avec un cocktail à la pression.

Où ? 82 rue de la Folie-Méricourt, Paris 11e.

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 3 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Ne vous fiez pas à ses lambris style Leroy-Merlin et à sa clim’ volumineuse à l’étage bas de plafond : cette cantine japonaise est le véritable coffre aux trésors de Little Tokyo ! Toyofumi Ôzuru y découpe d’opulentes bouchées délicieusement imparfaites au calamar, à la langoustine ou à l’oursin mais aussi sobas froides ou anguille au binchotan… Et bonne nouvelle : quand on va à Ryô, les prix ne montent pas là-haut !

Où ? 7 rue des Moulins, Paris 1er.

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  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé
Sanjo
Sanjo

Une adresse brute et chic tout en pierres à vif et baies vitrées où se pressent (pas de résa possible) les cadres du coin. Depuis la cuisine ouverte, les maîtres ramens envoient des balles de bols comme ce toripota, un butyreux bouillon de poulet plus riche que Bernard Arnault dans lequel flottent nouilles, œuf mollet, algue nori et deux tranches de porc braisé. Un délice sapide et velouté. Parmi les six recettes proposées, on trouve une très réussie version végé.

Où ? 29 rue d'Argenteuil, Paris 1er.

  • Japonais
  • Louvre
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé
Kodawari Tsukiji
Kodawari Tsukiji

Le décor s’oublie, la qualité reste. Car une fois que vous aurez fait le plein de photos de cette reproduction Instagram des anciennes halles aux poissons de Tokyo (poissons en plastique dans des caisses en polystyrène, faux pavés, serveurs en mareyeur), vous aurez quand même envie de revenir plonger, baguettes les premières, dans les ramens iodés proposés ici. Notre chouchou ? Le « paitan de daurade royale » avec émietté de daurade grillée, tamago (gros œufs mollets marinés) et chashu de porc fermier basque de chez Peïo Errecart. Tout ça dans un succulent bouillon de cinq heures.

Où ? 12 rue de Richelieu, Paris 1er

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  • Japonais
  • Rennes-Sèvres
  • prix 1 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Frédérique Picallo, Benjamin Tremoulet et Marwane Rizk ont importé avec succès le concept de kissaten, mélange typiquement japonais de salon de thé, coffee shop et sandwicherie. Au programme : petites assiettes (épinards à la crème de sésame, aubergine agedashi ultra-fondante, carottes et algues hijiki bien iodées…) et solides sando, en version porc pané, poulet panko ou œuf dur et mayo, le tout embastillé dans le pain de mie au moelleux de nuage de la boulangerie Carré.

Où ? 62, rue de Vaugirard, Paris 6e.

  • Japonais
  • 12e arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Nanyo Kurihashi et Terutaka Izumi, passés par Issé et par là, ont planté leurs couteaux aux abords de la place d’Aligre et c’est une bonne nouvelle pour les amateurs de sushis qui ne veulent pas faire seppuku leur PEL. Au déjeuner, leur frais bento de sashimi et nigiri de thon, daurade, maquereau, crevette, saumon et riz, avec wasabi et gingembre laminé ne nous mène pas en bateau. Totto, c’est pas de la blague.


Où ? 6 rue Théophile-Roussel, Paris 12e.

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  • Japonais
  • Saint-Georges
  • prix 1 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Fresques pop, carrelage de boucherie et ambiance pétaradante… Pas de rigorisme nippon au menu de cet izakaya de poche où Kenji Hoori turbine le midi des donburi plein pot, de tendres hiyayakko (tofu lové dans un tartare d’algues) ou des quatuors de gyozas. Le soir, l’ambiance monte encore d’un cran avec des tapas nocturnes à base de joufflus inari (petits sacs de tofu fourrés de riz et pickles) ou de soupe miso éclatante… à faire couler avec des jajas nature. Peco Peco toujours cool !

Où ? 47 rue Jean-Baptiste Pigalle, Paris 9e.

  • Japonais
  • 2e arrondissement
  • prix 4 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Impassible derrière son comptoir béton de cette petite salle minimaliste, devant un public de huit convives baguettes aux aguets, Isao Horai, qui prend la relève du légendaire Masayoshi Hanada, compose une formidable symphonie nipponne aux notes toujours justes : sushis préparés minute (barbue, encornet-yuzu, trio de thon…) ; makis thon-caviar ; suaves encornets enlaçant un raisin blanc. A escorter de sakés dûment sélectionnés.

Où ? 5 rue Rameau, Paris 2e.

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  • Japonais
  • Louvre
  • prix 3 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Cette adresse brutaliste au sol bétonné, pierres à vif et silence de sanctuaire trace une voie très personnelle dans le paysage gastronomique nippon de la capitale. D’abord avec le menu omakase du maître kyotoïte Daisuke Endo, scotchant par son esthétique, sa maîtrise et sa palette aromatique (comme ce turbot cuit à la vapeur de saké et asperges blanches plongées dans un dashi de miso blanc). Mais aussi par la carte de plus de 100 champagnes de vigneron, exceptionnelle même pour un restaurant français !

Où ? 37 rue de Montpensier, Paris 1er.

  • Japonais
  • Odéon
  • prix 3 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Ce décor austère, avec comptoir sombre en merisier, grosses pierres apparentes et silence de cathédrale seulement troublé par le cliquetis des baguettes, sert d’écrin monacal à la cuisine lumineuse et allègre du chef Katsutoshi Kondo. Délicat tartare de crevettes et calamar crus, extatique tataki de filet de bœuf mariné au yuzu kosho, ou encore boulettes de poulpe, lamelles de chou-fleur cru et profond dashi. Le tout escorté d’une pléthorique carte des vins qui aligne les crus mythiques !

Où ? 8 rue Casimir-Delavigne, Paris 6e.

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  • Japonais
  • Bastille
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Késako un shokudo ? Cela peut se traduire par une cantine, un réfectoire. Un lieu sans chichis où harponner des plats du quotidien. Au menu de cette émanation parisienne du genre, une vingtaine de tapas à prix plancher : du karaage suintant, des donburi poulet panko au riz de Niigata ou des sashimis fondants sous la langue. A faire couler dans le tohu-bohu avec un saké comme là-bas.

Où ? 154 rue du Faubourg-Saint-Antoine, Paris 12e.

  • Japonais
  • 1er arrondissement
  • prix 2 sur 4
  • 5 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Voilà une discrète adresse, ouverte en 2017 par Yujiro Yagi et Julien Beaudoux, qui propose une délicate cuisine nippone hyper variée. Le midi, on pioche dans une carte format bottin parmi 35 (rien que ça !) menus : chirashi, sashimis, tempura… Au dîner, on monte en gamme avec un menu omakase carré ou une ribambelle de petites assiettes cuisinées avec talent. Le tout à prix contenu ! 

Où ? 8 rue de Ventadour, Paris 1er

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  • Bars à tapas
  • Saint-Germain-des-Prés
  • prix 3 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

La déco chicos signée Studio KO invente l’izakaya de luxe avec ses tables marbrées, ses luminaires en osier et ses banquettes à motifs paon, tandis que la cuisine envoie une offre unique entre inspi nipponne à la sauce Lignac, sushis de compète et plats introuvables à Paris comme ces oursins marinés au tosazu. Un voyage extraordinaire mais tarifé pour faune BCBG ascendant Rolex.

Où ? 25 rue du Dragon, Paris 6e.

  • Japonais
  • Europe
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé
Izumi
Izumi

Dans un espace poli et pocket, on trouve des tables à touche-touche pour une quinzaine de paires de fesses, quelques luminaires à filaments et, en guise de déco, deux trois bouteilles de saké. Depuis le petit comptoir en bois blond, le docteur ès sushis au sourire malicieux nous débite une douzaine de nigiris plutôt bien troussés. Parmi les meilleurs : l’anguille laquée à la chair épaisse, la doucereuse crevette crue ou encore le toro encerclé de feuille nori, là encore texture septième ciel. 

Où ? 55 boulevard des Batignolles, Paris 8e.

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  • Japonais
  • Saint-Germain-des-Prés
  • prix 3 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Depuis 2005, l’adresse de Katsuki Sakurai a satellisé très haut la nouille soba, façonnée et découpée par ses soins tous les jours. Parfaitement cuites, elles se mangent froides nappées d’une sauce soja (mori soba), sésame (gomadare) ou escortées de tempura. En version chaude, on les retrouve avec quelques noix de Saint-Jacques nacrées (hanamaki soba) ou dans un bouillon léger avec du canard et des poireaux. Un régal de simplicité.

Où ? 22 rue Saint-Benoît, Paris 6e.

  • Japonais
  • Roquette
  • prix 2 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Ni luxueuse ni sacralisée, simplement gourmande, voilà une discrète adresse, très prisée de la diaspora nipponne, qui se fond dans la masse des bouis-bouis pseudo japonais (ceux baptisés d’un nom de ville… méfiance) de la rue de la Roquette. Au menu omakase du chef Mitsuo Kawamoto, un bel éventail de son savoir-faire : chawanmushi, tataki de bœuf, filet de canette rôtie aux asperges blanches, œuf mollet et korokke…

 Où ? 43, rue de la Roquette, Paris 11e.

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  • Japonais
  • Louvre
  • prix 3 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

1958… Telle est la date de naissance de Takara, ni plus ni moins le plus vieux restaurant japonais de Paris ! Et rien ne semble avoir changé depuis : ni les tables à touche-touche, ni les estampes cramponnées au mur, ni le kimono des serveuses. Outre le folklore, cette adresse mythique nous délecte d’une cuisine ultra-précise comme le shabu shabu, un délicieux bouillon d’algues kombu où faire mijoter soi-même fines lamelles de bœuf ; plateau de sashimis ou donburi à l’anguille. Bref, un véritable « trésor » (« takara » en japonais).

Où?  14, rue Molière, Paris 1er. 

  • Japonais
  • Poissonnière
  • prix 1 sur 4
  • 4 sur 5 étoiles
  • Recommandé

Une petite cantine couloir discrète comme un ninja agoraphobe où Akiko Nakada, la taulière passée du tourisme à la popote, cuisine sa spécialité, le curry nippon, plus doux que la recette indienne. Elle le décline en version légumes, poulet, bœuf dans une épaisse et revigorante sauce bien épicée. La formule pré-inflation comprend du thé à volonté et un délicieux mochi maison. Ika, c’est OK !

Où ? 26 rue de Chabrol, Paris 10e.

Et aussi...

  • Japonais
Les meilleurs sushis de Paris
Les meilleurs sushis de Paris

Entre les buffets à volonté et les bouibouis japonais pas toujours très frais, on reste trop souvent sur notre faim à Paris. Chez Time Out, on a pensé à vous et on vous a dégoté les meilleures tables pour déguster ce met délicieux et toutes sortes de spécialités nippones. Et comme on dit là-bas : Itadakimasu !

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